Buts : Frankowski (21e, SP), Ojediran (86e) et Thomasson (90e) pour les Sang et Or // Simon (36e, SP) et Cozza (71e) pour les Canaris
Vous avez dit clutch ?
Mené jusque dans les dernières minutes, Lens a miraculeusement renversé une formation de Nantes à l’agonie après avoir cru s’imposer pour la première fois depuis fin août (3-2). La première période aura été une affaire de penaltys, après une courte interruption successive à une protestation des supporters nordistes contre la LFP, à grand renfort de balles de tennis jetées sur le pré. C’est d’abord la VAR qui signale à M. Turpin une faute sur David Pereira Da Costa pour permettre à Premislav Frankowski de donner l’avantage aux locaux (1-0, 21e). Mais quelques instants après avoir vendangé une grosse occasion, Facundo Medina rend la pareille dans sa surface en bousculant Nicolas Cozza. Sentence transformée par Moses Simon (1-1, 36e).
Pallois héros malheureux
Après la pause, Lens tente de repartir de l’avant, mais pâtit toujours autant de son manque de poids offensif, incapable de cadrer la moindre frappe en dehors du penalty. Et se fait punir par Nicolas Cozza, mis sur orbite par Ignatius Ganago et dont le but est validé par la vidéo (1-2, 71e). Rien ne va plus dans le Nord, et Florian Sotoca manque une énorme occasion. Avant cette fin de match complètement folle : servi en retrait, Hamzat Ojediran égalise (2-2, 86e). Puis Nicolas Pallois, auteur d’une intervention remarquable sur l’action précédente, lobe Alban Lafont d’une tête en retrait inexplicable, offrant le but de la victoire à Adrien Thomasson(3-2, 90e).
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