Pour le compte de la seconde journée de Ligue Europa, Tottenham s’est imposé avec son équipe bis sur la pelouse de Ferencváros (1-2), grâce à Pape Matar Sarr et Brennan Johnson, décidément en forme olympique avec un cinquième pion en cinq matchs. La déviation tardive de Barnabás Varga ne changeant rien à la maîtrise des Spurs, avec un carton plein en deux journées. Dans le même temps, Hoffenheim n’a pas forcé son talent contre un Dynamo Kyiv bien faiblard (2-0), qui enchaîne un second revers, alors que le TSG cumule 4 points. Dans un match animé et sur terrain neutre, Midtjylland a mis le Maccabi Tel-Aviv sous cloche en Hongrie (0-2), par l’entremise de Franculino et Edward Chilufya. Difficile d’en dire autant de Qarabag, défait sur sa pelouse par Malmö (1-2), pourtant catastrophique la semaine passée contre les Rangers. Emil Botheim, le comparse d’Isaac Kiese Thelin en attaque, a inscrit un doublé décisif, « annulant» ainsi la réalisation de Juninho.
Les favoris n’assument pas
En Grèce, le tenant du titre en Ligue Conférence, l’Olympiakos, s’est bien remis en selle après son non-match à Lyon. Ayoub El Kaabi, auteur d’un doublé, et le Thrylos ont en effet giflé le Sporting Braga (3-0), qui avait déjà eu un mal fou à venir à bout du Maccabi Tel-Aviv lors de la première journée, mais qui restait favori. Du côté de Riga, Galatasaray a floppé dans les grandes largeurs après avoir eu deux buts d’avance, concédant finalement le nul sur la pelouse du RFS (2-2), porté par Janis Ikaunieks, l’ancien Messin, encore et toujours buteur et homme providentiel des locaux. Pas mieux pour la Real Sociedad, vaincue par une très jeune formation d’Anderlecht à Anoeta (1-2), avec à la clé un but féerique de la pépite Théo Leoni. Enfin, l’Ajax a sauvé un point à Prague contre le Slavia (1-1), tout en terminant la rencontre en infériorité numérique. Branco van den Boomen a marqué depuis le point de penalty.
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
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C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.