Battu sur la pelouse d’Osasuna la semaine passée, le FC Barcelone avait à cœur de retrouver la voie du succès en championnat, ce dimanche sur la pelouse d’Alavés. Les joueurs de Hansi Flick y sont parvenus, sans trop de difficulté, grâce à un Robert Lewandowski qui a marqué un triplé en moins d’une demi-heure. Le Barça reprend trois longueurs d’avance sur le Real Madrid et passera la trêve internationale en tête. Alavés reste dans le ventre mou.
<iframe loading="lazy" title="Résumé : Le TRIPLÉ de LEWANDOWSKI porte le Barça à Alavés" width="500" height="281" src="https://www.youtube.com/embed/zJBDWavF2g8?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen></iframe>
Le show du Polonais a vite démarré : sur un coup franc merveilleusement botté par Raphinha, l’avant-centre a placé un coup de casque imparable (0-1, 7e). On prend les mêmes et on recommence quinze minutes plus tard, avec une deuxième passe décisive pour le Brésilien au bout d’une contre-attaque, conclue sans problème par Lewy (0-2, 22e).
Le meilleur buteur de Liga était insatiable et ne s’est pas arrêté là : après un magnifique ballon donné par Eric García, étonnamment positionné haut sur le pré, Lewandowski a croisé une frappe difficile et trompé Antonio Sivera, décidément aux fraises (0-3, 32e). Alavés a bien cru se donner un peu d’espoir avant la pause, avec une réduction de l’écart signée Toni Martínez… mais finalement annulée pour une position de hors-jeu difficilement perceptible à l’œil nu (45e). Le second acte a par la suite été relativement plus calme, même si les locaux ont connu une nouvelle fausse joie, avec un autre but en position illicite, de la part de Santiago Mouriño (85e).
Huit matchs, dix buts : on est bien sûr qu’il a 36 ans ?
Les grands récits de Society: Les multiples visages de Corinne Berthier
Les grands récits de Society: Les multiples visages de Corinne Berthier
Ces 40 dernières années, sa photo a été utilisée pour représenter la France, son nom pour usurper des identités et détourner des millions d’euros, sans que personne ne sache vraiment qui était Corinne Berthier, ou même si elle avait jamais existé. Jusqu’à cette enquête.