Le mercato en direct

Xhaka fait fait, c’qu’il lui plaît plaît.

Granit Xhaka a annoncé à la direction du Bayer Leverkusen que ce sera Sunderland ou rien, selon The Athletic. Sous contrat avec le club allemand jusqu’en 2028, le Suisse a récemment trouvé un accord de principe avec les Black Cats pour un contrat de trois ans, a indiqué son agent à Sky Allemagne. Les deux clubs n’auraient plus qu’à se mettre d’accord sur les modalités de transfert.

He’s coming home

L’ex-taulier d’Arsenal retrouverait la Premier League après un passage de deux saisons réussi outre-Rhin. En 99 apparitions, le milieu de terrain de 32 ans aura contribué au succès du Bayer 04 en Bundesliga, notamment lors de la saison du titre en 2023-2024. Et si le Werkself voit ses héros partir un à un, de son côté, Sunderland s’offre un habitué de la Premier League (225 matchs) pour son retour dans l’élite du championnat anglais.

Ils veulent tous jouer sous les ordres de Régis Le Bris.

Un autre Canari dans la galette.

Comme son petit copain Valentin Rongier, Quentin Merlin va rejoindre la Bretagne après être passé par Nantes et Marseille. Le latéral gauche devrait coûter dans les 13 millions aux Bretons. Ils auront au total déboursé un joli chèque de 22 millions pour les deux Français, chose bien rare dans le championnat de France actuellement.

Capable de délivrer des galettes comme des saucisses, Quentin Merlin ne s’est pas forcément montré à son avantage sur le plan défensif aussi bien chez les Bleuets qu’au Vélodrome. Parti pour remplacer Adrien Truffert, en fin de course et parti à Bournemouth, l’international espoir français va devoir se montrer très convaincant pour se faire adopter par un public fort mécontent de l’arrivée de Rongier.

Enchante-les, Merlin !

Un transfert canon.

C’était dans les tuyaux depuis bien longtemps, Fabrizio Romano a lâché son meilleur « Here We Go ! » Viktor Gyökeres, l’ogre suédois, va signer à Arsenal selon plusieurs médias. Un accord a enfin été trouvé entre les deux parties. Le Sporting Club Portugal a accepté une offre de 63 millions d’euros + 10 millions d’euros de bonus. Après Madueke, Nørgaard, Arrizabalaga et Zubimendi, Gyökeres est la cinquième recrue des Londoniens.

Un bras de fer remporté haut la main

Habitué à la deuxième place depuis plusieurs saisons, Arsenal décide, comme toutes les équipes de Premier League, de faire péter le chéquier malgré les 142 millions déjà dépensés. L’ancien de Coventry a bien remporté son bras de fer face à son ancien président et son désormais ancien club. En même temps, au vu de la musculation du bonhomme, on n’avait pas trop de doute. À voir si Arsenal a enfin trouvé son grand attaquant, après l’échec de Gabriel Jesus.

Peut-être la bonne pour Arsenal

Champagne !

Cette année à Troyes, Noël tombe en juillet. Et la bonne nouvelle ne vient ni d’un prêt malin, ni d’un but en match amical contre Grenoble, mais d’un virement bancaire venu tout droit de Manchester. Transféré à United pour 81 millions d’euros, Bryan Mbeumo permet à son club formateur de récupérer un joli pactole.

9,4 millions dans la besace

Selon L’Est Éclair, les Aubois ont eu le nez creux lors de son départ pour Brentford en 2019, en négociant 10% de la plus-value sur une future vente. Résultat : environ 7,4 millions d’euros tombent dans les caisses, auxquels s’ajoutent 2 millions d’indemnités de formation. De quoi respirer un bon coup en Ligue 2 avant, peut-être, de refaire l’ascenseur dans un ou deux ans.

Un joli coup du destin pour les dirigeants troyens, qui avaient vu leur attaquant partir à Brentford contre 6,6 millions d’euros, avant qu’il n’explose au plus haut niveau, notamment cette saison avec 20 buts et 8 passes décisives en Premier League. Pendant que l’attaquant camerounais de 25 ans s’apprête à découvrir la Ligue des champions sous les projecteurs d’Old Trafford (ah, en fait non), l’ESTAC peut savourer cette petite revanche financière. Un transfert record pour lui, un gros bol d’air pour eux.

Pas besoin de City Group, finalement.

C’est ce qu’on appelle rebrousser chemin.

Pau Lopez n’aura pas eu le temps d’apprendre l’hymne de Toluca. Après une saison à faire tampon entre plusieurs fuseaux horaires, le gardien espagnol de 30 ans s’est engagé jusqu’en 2028 avec le Betis ce mardi, un club qu’il connaît bien pour y avoir évolué en 2018-2019.

Une tournée d’un an digne d’une superstar

L’ancien portier de l’OM boucle donc un semestre de globe-trotter : trois petits matchs à Gérone lors d’un prêt à l’automne, onze autres à Toluca, qui avait levé l’option d’achat de son contrat marseillais (4,8 millions d’euros) en janvier, après un deal avorté avec le RC Lens. Puis une signature définitive au Mexique, il y a quelques jours… résiliée dans la foulée. Le tout sans jamais vraiment poser ses valises.

Cette fois-ci, Lopez va enfin pouvoir retrouver de la stabilité après une saison tumultueuse à tous les étages. Le Betis, de son côté, s’est contenté d’un communiqué classique, énumérant les escales du portier depuis son premier passage en Espagne.

Le comte de Pau Lopez.

Pas près de raccrocher les gants.

Keylor Navas poursuit son tour du monde des cages. À 38 ans, le triple vainqueur de la Ligue des champions avec le Real Madrid quitte l’Argentine et les Newell’s Old Boys, direction le Mexique et les Pumas de l’UNAM. Un dernier défi sous les projecteurs (ou pas) pour le portier aux 120 capes avec le Costa Rica, qui n’en a visiblement pas fini avec le haut niveau.

Une fin d’aventure argentine compliquée

Ce départ pour le Mexique ne s’est pas fait dans les larmes et les accolades. Dans un communiqué aux allures de lettre de rupture passive-agressive, le club justifie ce divorce par un besoin d’alignement collectif : « Cette décision a été prise en fonction de la conviction de soutenir un projet collectif où l’engagement, le professionnalisme et le respect des valeurs du club sont des piliers non négociables. » Des mots qui disent sans le dire que l’ancien gardien du PSG n’a pas vraiment coché toutes les cases.

Selon ESPN, le malaise remonterait à une drôle de scène avant un match contre Banfield, lorsque l’ancien Parisien aurait demandé à ne pas être titularisé… à quelques minutes du coup d’envoi. Une façon de montrer que son avenir ne se jouerait plus en Argentine, mais bel et bien au pays de Pancho Villa.

Les fins en eau de boudin deviennent sa spécialité.

Le premier round du duel Arnault-Pinault ?

Les deux propriétaires rivaux du Paris FC et du Stade rennais vont devoir attendre le mois de novembre pour se retrouver sur le terrain, au stade Jean-Bouin. Avant de s’affronter sur le rectangle vert, les deux clubs français pourraient être concurrents sur le marché des transferts dans les prochains jours.

D’après des informations de L’Équipe publiées ce mardi, le PFC comme le SRFC souhaitent enrôler Przemysław Frankowski. Après avoir été prêté avec une obligation d’achat par Lens l’hiver dernier, le latéral polonais sort d’une fin de saison galère en Turquie et devrait déjà quitter Galatasaray cet été. Le club parisien serait chaud pour un transfert sec, selon le quotidien, alors que les Bretons négocieraient plutôt pour un prêt avec option d’achat.

Que le combat des chefs commence.

La belle histoire de la soirée.

Libre de tout contrat après deux saisons à l’Inter Milan, l’international autrichien Marko Arnautović a signé ce lundi avec l’Étoile rouge de Belgrade. L’attaquant serbo-autrichien de 36 piges, qui a paraphé un contrat de deux ans, portera pour la première fois les couleurs d’un club évoluant sur les terres de son père, également un grand fan de l’Étoile.

❗️Marko Arnautović novi igrač Crvene zvezde❗️ Fudbalski klub Crvena zvezda sa velikim zadovoljstvom obaveštava zvezdašku javnost da je Marko Arnautović novo pojačanje Crvene zvezde. 🔴⚪️ #fkcz pic.twitter.com/TdaqgQe3ob

— FK Crvena zvezda (@crvenazvezdafk) July 21, 2025

Une qualification en Ligue des champions dans le viseur

L’avant-centre, passé également par West Ham, Bologne ou encore le SH SIPG (Chine), n’aura pas énormément de temps pour s’acclimater dans le douzième club de sa carrière, puisque l’Étoile rouge de Belgrade sera opposée ce mardi au Lincoln FC dans le cadre du deuxième tour préliminaire aller de la Ligue des champions.

Le duo avec Radonjić promet d’être dantesque.

Un nouveau roc débarque dans la capitale bretonne.

Six ans après son arrivée à l’Olympique de Marseille, Valentin Rongier quitte le navire phocéen et s’engage au Stade rennais. L’officialisation du transfert est tombée ce lundi soir. Le montant du transfert s’élève à 22,5 millions d’euros (bonus compris), sachant que son transfert est lié à celui de Quentin Merlin, compris dans le deal. Le milieu de 30 ans, qui compte plus de 271 matchs en Ligue 1, est rennais au moins jusqu’en 2028.

La gronde des supporters n’aura pas suffi

Son arrivée ne semble pourtant pas faire l’unanimité. Ancien joueur du FC Nantes, Rongier s’est attiré les foudres des ultras rennais du Roazhon Celtic Kop, notamment parce qu’il avait chambré à de nombreuses reprises par le passé le club de la capitale bretonne dans des derbys. Le SRFC a de son côté préféré tourner en dérision cette affaire lors de l’officialisation du désormais ex-Marseillais en lui offrant… une figurine de chèvre.

Un but lors de Rennes-Marseille lors de la J1 et tout est oublié ?

Cette fois, c’est officiel !

Comme pressenti depuis plusieurs jours, Bryan Mbeumo s’est officiellement engagé à Manchester United ce lundi. Pour signer l’international camerounais, les Red Devils auraient déboursé une petite fortune selon la presse anglaise : 81 millions (bonus compris), soit la sixième recrue la plus chère du club mancunien. Visage bien connu de la Premier League, le désormais ex-joueur de Brentford a réalisé une grande saison 2024-2025 avec les Bees en inscrivant 20 buts et en délivrant 8 passes décisives en championnat. Le contrat de l’ancien joueur de Troyes, dont la moyenne de buts depuis la montée de son ancien club est de 18 par saison, s’étire jusqu’en 2030, avec une année en option.

« Le club de mes rêves »

Dans un communiqué, Mbeumo a lâché quelques mots doux au sujet de MU : « Dès que j’ai su que j’avais la possibilité de rejoindre Manchester United, j’ai saisi l’opportunité de signer pour le club de mes rêves, l’équipe dont j’ai porté le maillot quand j’étais jeune. Je sais que j’ai l’esprit et le caractère nécessaires pour atteindre un niveau supérieur ici, en apprenant auprès de Rúben Amorim et en jouant aux côtés de joueurs de classe mondiale. […] C’est un club immense, avec un stade incroyable et des supporters formidables, nous sommes tous déterminés à nous battre pour les plus grands trophées. »

À qui le tour ?