Buts : Gameiro (44e, S.P.), A. Sylla (50e) & Sahi (90e+2) pour Strasbourg // Nakamura (7e) pour Reims
Expulsion : A. Koné (90e+7) pour Reims
Astuce : utiliser une spatule (ou deux) pour décoller et retourner manuellement le Stade de Reims.
Malgré une ouverture du score très rapide grâce à une superbe tête de Keito Nakamura sur une non moins superbe galette de son compatriote Junya Ito (7e), Reims a paumé sur la pelouse d’un Strasbourg auteur de sa troisième victoire sur les quatre dernières rencontres, et quasiment assuré du maintien (dix points d’avance sur le barragiste Lorient, qui a certes joué un match de moins).
Tout a basculé juste avant et juste après la mi-temps. Les locaux ont d’abord égalisé sur un penalty obtenu par Jérémy Sebas – qui venait d’entrer à la place du blessé Habib Diarra – et transformé par Kevin Gameiro, évidemment (44e). Dans le temps additionnel de la première période, Amadou Koné – lui aussi sorti du banc, pour remplacer Valentin Atangana Edoa – a écopé d’un deuxième carton jaune et a dû laisser les siens en infériorité numérique, facilitant ainsi la tâche du Racing qui a pris l’avantage après l’entracte sur une belle tête plongeante d’Abakar Sylla, à la réception d’un coup franc de Dilane Bakwa (50e). En fin de partie, sur une boulette de Thibault De Smet, le jeune Aboubacar Ali Abdallah (18 ans) a pu servir le revenant Moïse Sahi (90e+2), pour faire souffler tout le monde après une période passée à subir.
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
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C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.