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Top 1000 : les meilleurs joueurs du championnat de France (230-221)

Par Quentin Ballue, Jérémie Baron, Adel Bentaha, Raphaël Brosse, Clément Gavard et Steven Oliveira, avec toute la rédaction de SF

Quel est le meilleur joueur de l'histoire du championnat de France depuis sa création en 1932 jusqu'à 2022 ? Statistiques, palmarès, trajectoires personnelles, classe, dégaine, empreinte laissée : autant de critères qui nous ont permis d'établir notre classement très subjectif des mille joueurs les plus marquants de Division 1 et de Ligue 1. Le credo d'un feuilleton qui va durer précisément 100 jours.

430
Bolek Tempowski
429
Éric Edwige
428
Moussa Saïb
427
Robert Barraja
426
Rudi Voller
425
Patrick Blondeau
424
Hatem Ben Arfa
423
Ilija Pantelić
422
Frank Verlaat
421
Roland Mitoraj
420
David Régis
419
René Vignal
418
John Sivebæk
417
Guy Lacombe
416
Michel Lafranceschina
415
René Gallina
414
Michel Leblond
413
Bruno Bellone
412
Dick van Dijk
411
Antoine Sibierski
410
René et Pierre Pleimelding
409
Frank Lebœuf
408
Faruk Hadžibegić
407
Marc Berdoll
406
Marceau Somerlinck
405
Bernard Diomède
404
Rémy Vogel
403
Jean-Paul Escale
402
Léon Deladerrière
401
Radamel Falcao
400
Emile Veinante
399
Antoine Kombouaré
398
Yves Triantafilos
397
René Cédolin
396
Georges Zvunka
395
Mohammed Abderrazak
394
Emilio Salaber
393
Ange Di Caro
392
Claude « Coco » Michel
391
Louis Landi
390
Gabriel Abossolo
389
Jean Wendling
388
Jean-Michel Moutier
387
Antoine Franceschetti
386
Joseph Jadrejak
385
Teddy Bertin
384
Jean Nicolas
383
David Trezeguet
382
Santiago Santamaria
381
Cyrille Pouget
380
Bernard Lefèvre
379
Louis Cardiet
378
Anto Drobnjak
377
Louis de Maréville
376
Rudi Hiden
375
Adick Koot
374
Roger Milla
373
Daniel Dutuel
372
David Zitelli
371
Franck Ribéry
370
Alphonse Martinez
369
Richard Tylinski
368
Jean-Christophe Thomas
367
Lilian Thuram
366
Bernard Williams
365
Boubacar Sarr
364
Laurent Di Lorto
363
François Wicart
362
Loïc Perrin
361
Glenn Hoddle
360
Claude Barret
359
Jacques Delepaut
358
Ersnt Stojaspal
357
Paul et Noël Sinibaldi
356
Nello et Pierre Sbaïz
355
Mario Yepes
354
Alen Bokšić
353
Roland Guillas
352
Drago Vabec
351
Jean-Luc Buisine
350
Stéphane Ruffier
349
Franck Tanasi
348
Pascal Fugier
347
Hector Maison
346
Jean-Pierre Bosser
345
Jean-François Beltramini
344
Jay-Jay Okocha
343
Georges Lamia
342
Bernard Placzek
341
Mehmed Baždarević
340
François Heutte
339
Laurent Robert
338
Jean-Jacques Kretzschmar
337
Jean Swiatek
336
Jean Baeza
335
Jean-Claude Hernández
334
Stéphane Paille
333
Guy Calléja
332
Rafael Santos
331
Bernard Lech
330
Olivier Rouyer
329
Henri Fontaine
328
Jean Castaneda
327
Jean-Luc Sassus
326
Gilbert Gress
325
Yann Lachuer
324
Bruno Ngotty
323
Abdelkrim Merry « Krimau »
322
Ángel Rambert
321
Jean Prouff
320
André Rey
319
François Bracci
318
Gabriel De Michèle
317
Jacques Foix
316
Didier Six
315
Nenê
314
Jean-Guy Wallemme
313
Carlos Curbelo
312
Marcel Artelesa
311
Yves Boutet
310
Yvon Le Roux
309
Gérard Bourbotte
308
Abdelaziz Ben Tifour
307
Christian Synaeghel
306
Jean-Claude Lemoult
305
Didier Couécou
304
Francis Isnard
303
Aimé Mignot
302
Rio Mavuba
301
Vikash Dhorasoo
300
Néstor Fabbri
299
Dieter Müller
298
Mohamed Salem
297
Bertus de Harder
296
Jean-Marc Pilorget
295
Guillaume Warmuz
294
Anthony Réveillère
293
Pierre-Yves André
292
Claude Quittet
291
Jean Petit
290
Nenad Bjekovic
289
Jérôme Leroy
288
Guy et Didier Sénac
287
Hugo Curioni
286
André Kabile
285
Larbi Benbarek
284
Frédéric Meyrieu
283
Pawel Janas
282
Enzo Scifo
281
Yves Chauveau
280
Pascal Vahirua
279
René Franquès
278
Jean-Christophe Thouvenel
277
Désiré Carré
276
Jules et Victor Zvunka
275
André Abegglen
274
Michael Essien
273
Jacques Santini
272
Pierre Flamion
271
Ricardo
270
Philippe Violeau
269
Shabani Nonda
268
René Bihel
267
Oscar Muller
266
André Chorda
265
Philippe Gaillot
264
Franck Dumas
263
René Ferrier
262
Jérémy Toulalan
261
Roger Scotti
260
Pierre Grillet
259
Éric Pécout
258
Benoît Pedretti
257
Pierre Bernard
256
Sylvain Armand
255
Éric Sikora
254
Pierre Bourdel
253
Joseph Antoine Bell
252
Edmond Delfour
251
Charly Loubet
250
Olivier Monterrubio
249
Paul Le Guen
248
Pierre Dorsini
247
Dominique Rustichelli
246
Alexis Thépot
245
Joseph Bonnel
244
Florent Balmont
243
Henri Skiba
242
Laurent Pokou
241
Patrick Revelli
240
Benjamin Nivet
239
René Hauss
238
Ginès Liron
237
Jacques Zimako
236
Valdo
235
Fabien Cool
234
Philippe Hinschberger
233
René Gallice
232
Raymond Kaelbel
231
Maryan Wisniewski
230
François Bourbotte
229
René Gardien
228
Bernard Rahis
227
René Bliard
226
Robert Pintenat
225
Francis Piasecki
224
Georges Beaucourt
223
Johan Micoud
222221
François Brisson
François Bourbotte

#230 - François Bourbotte

François Bourbotte SC Fives (1933-1939), Lille (1945-1947)

Vous avez sans doute déjà entendu parler du bâton de Bourbotte, ce trophée virtuel qu’une équipe obtient en battant celle qui le détenait jusqu’alors. Ce que vous ne savez peut-être pas, en revanche, c’est que cette récompense officieuse a été nommée ainsi en référence à François Bourbotte qui, en sa qualité de capitaine du Lille OSC, est le premier à soulever le trophée de champion de la France réunifiée, en 1946. Ce milieu récupérateur ou défenseur de grande taille, professionnel rigoureux et rugueux dans les duels, se fait connaître avant-guerre grâce à ses performances avec le SC Fives – club dont il est le joueur le plus capé -, qui lui valent d’être convoqué en équipe de France et de participer à la Coupe du monde 1938. Une fois le conflit terminé, il devient le leader du LOSC, né de la fusion entre Fives et l’Olympique lillois. L’aventure se termine toutefois prématurément. Après une victoire à Paris face au Stade français (0-2), les Nordistes commandent du champagne dans le train du retour et le trésorier, un certain M. Wauquier, refuse de régler la note. Dans un wagon agité par les contestations, le capitaine fait entendre sa grosse voix : « De toute façon, nous n’avons pas besoin des dirigeants. C’est nous qui gagnons les matchs. Pas eux ! » Convoqué par le Comité directeur le lendemain, il refuse de s’excuser et voit donc son contrat suspendu. Bourbotte, droit dans ses bottes.

René Gardien

#229 - René Gardien

René Gardien Sochaux (1947-1959)

René Gardien devait sans doute avoir l’esprit de contradiction. Il aurait pu porter son nom à merveille, il a choisi de s’exiler à l’autre bout du terrain pour faire trembler ses nombreux homonymes. Avec succès puisqu’il est le deuxième meilleur buteur de l’histoire de Sochaux (121 pions), un club avec lequel il passe douze ans dans l’élite. Un finisseur clinique, capable de jouer sur l’aile comme en pointe, mais aussi très doué pour faire marrer son monde. Un bon élément dans un vestiaire et un personnage très attachant, ce qui n’est jamais de trop pour marquer le championnat de France. Un boute-en-train qui aura même accroché deux sélections avec les Bleus, avec un doublé contre le pays de Galles, et qui terminera son aventure sochalienne par une finale de Coupe de France perdue contre Le Havre. René au top.

Bernard Rahis

#228 - Bernard Rahis

Bernard Rahis Nîmes (1954-1963)

Bernard Rahis est un maillon essentiel du plus beau chapitre de l’histoire du Nîmes Olympique. Deuxième meilleur buteur de l’histoire des Crocos, l’ailier aux 132 buts dans le Gard (dont 104 en D1) met les défenses aux supplices avec ses compères Hassan Akesbi et Henri Skiba. Réputé pour claquer des temps canons sur 100 mètres, le natif de Blida se fait un malin plaisir à enchaîner les débordements sur son côté. Sa frappe puissante, qui faisait trembler le mur en béton entourant le stade, s’occupe du reste. « Très bon joueur de tête de surcroît, notait Armand Ruiz, le président de l’Union des anciens du football d’Afrique du Nord. Difficile de trouver un meilleur attaquant de débordement parmi les professionnels. » En sa présence, Nîmes termine trois fois vice-champion de France (1958, 1959, 1960), une fois troisième (1962) et deux fois sixième (1961, 1963). La classe – internationale, puisqu’il a porté le maillot des Bleus à trois reprises.

René Bliard

#227 - René Bliard

René Bliard Reims (1951-1959), Rouen (1960-1962)

Qui sait quelle trajectoire la carrière de René Bliard aurait prise s’il ne s’était pas blessé juste avant la Coupe du monde 1958… « C’est lui qui aurait dû jouer à ma place au poste d’avant-centre et vivre cette épopée, confiait Just Fontaine à Actu Toulouse. C’est à ce hasard du foot que je dois d’avoir vécu cette coupe et mes 13 buts. » À l’époque, Bliard conjugue le ballon rond au plus-que-parfait. Rien qu’en D1, l’attaquant du Stade de Reims vient de claquer 72 buts sur ses quatre dernières saisons (en 111 matchs). Meilleur buteur en 1955 avec 30 réalisations en 32 rencontres, champion de France 1955 et 1958, le natif de la Marne fait feu de tout bois. La désillusion de son entorse à la cheville ne l’empêche pas de venir saluer Justo et sa bande à l’aéroport après le Mondial suédois. Puis de soigner un peu plus ses stats du côté de Rouen au tout début des années 1960 pour atteindre 91 buts en seulement 182 matchs dans l’élite. Un seigneur, bien au-delà de la cité des rois.

Robert Pintenat

#226 - Robert Pintenat

Robert Pintenat
Rouen (1969-1970), Red Star (1970-1973), Nîmes (1973-1974), Sochaux (1974-1978), Nancy (1978-1979), Toulouse (1982-1983)

Le 27 mars 1976, un certain Michel Platini effectue ses grands débuts avec l’équipe de France, à l’occasion d’un match contre la Tchécoslovaquie au Parc. « Platoche » n’est pas le seul bizut du soir, le nouveau sélectionneur ayant également lancé dans le grand bain Maxime Bossis, Patrice Rio, Gilles Rampillon, Didier Six et… Robert Pintenat. À ce moment, l’attaquant français est l’un des buteurs les plus redoutés de D1. Après être passé par Rouen, le Red Star et Nîmes, il explose véritablement à Sochaux, où sa grande adresse dans la zone de vérité et sa superbe détente font florès (62 réalisations en championnat en l’espace de quatre saisons). À 31 ans, cet insatiable chasseur de buts descend d’un étage, à Toulouse, ce qui lui permet d’affoler les compteurs en D2 et de propulser le club de la Ville rose vers l’élite, en 1982. Il s’éteint le 22 août 2008, à l’âge de 60 ans.

Francis Piasecki

#225 - Francis Piasecki

Francis Piasecki
Metz (1970-1971 et 1971-1972), Valenciennes (1971), Sochaux (1973-1975), PSG (1975-1977), Strasbourg (1977-1986)

Comme quoi, on peut naître en Moselle, commencer sa carrière pro au FC Metz et devenir une légende de Strasbourg. C’est en tout cas la trajectoire de Francis Piasecki. Mais avant d’atterrir en Alsace, le meneur de jeu aux pieds d’argent a fait le bonheur du PSG et de Sochaux, qu’il a permis de maintenir dans l’élite en inscrivant le pion du maintien au Parc des Princes. De quoi laisser un bon souvenir dans le Doubs. Mais ce n’est rien comparé à la trace laissée à Strasbourg. Logique, l’international français (3 capes) était présent lors de l’unique titre de champion de France du club alsacien en 1979. Et pas qu’un peu puisqu’il n’a pas manqué une seule journée de cette édition, terminant deuxième meilleur buteur du club cette saison-là (14 pions) et meilleur passeur du championnat. Un sacre que le 38e joueur le plus capé du championnat de France a célébré autour d’un bon repas, comme il aimait si bien le faire.

Georges Beaucourt

#224 - Georges Beaucourt

Georges Beaucourt
Olympique lillois (1932-1938), RC Lens (1938-1939)

À jamais le premier. Même dans 200 ans, Georges Beaucourt aura toujours sa place dans le grand livre d’histoire du championnat de France. Car en plus de faire partie de l’équipe de l’Olympique lillois qui a remporté le premier titre de D1 en 1993, le robuste défenseur restera à jamais le premier capitaine à avoir soulevé le trophée qu’il avait reçu des mains d’Hippolyte Ducos, alors sous-secrétaire d’État à l’Éducation nationale. Pourtant, celui qui a participé à la Coupe du monde 1934 – même s’il n’a pas joué le moindre match – n’était pas programmé pour taper dans un ballon, mais pour les études, lui qui a fait Maths sup Maths spé avant d’abandonner son projet des Grandes Écoles pour aller remporter deux championnats de France avec l’Olympique lillois. Transféré au RC Lens contre une somme équivalente aujourd’hui à 23 000 euros – il s’agit d’ailleurs de l’un des premiers transferts contre de l’argent -, Georges Beaucourt aurait pu mener le voisin sur le toit de la France, mais la Seconde Guerre mondiale est passée par là. Tant pis, sa place à vie dans le livre d’histoire était déjà assurée.

Johan Micoud

#223 - Johan Micoud

Johan Micoud
Cannes (1993-1996), Bordeaux (1996-2000 puis 2006-2008)

Il est le premier nouveau Zidane, avant même que celui-ci ne devienne le Zizou de tous les Français. Comme le double Z, Johan Micoud est né à Marseille et formé à Cannes où il remplace le numéro 10 des Bleus une première fois avant la deuxième à Bordeaux. Les comparaisons incessantes avec le meneur de jeu ne sont pas simples à gérer, mais son aisance technique et son pied de velours lui permettent de se faire une place parmi les meilleurs joueurs du championnat à la fin des années 1990. Micoud est un distributeur de caviars et brille davantage par sa vision du jeu que par ses dribbles. Il termine même meilleur passeur de D1 en 1997-1998, mais la suivante est la plus mémorable, Micoud guidant les Girondins vers un titre de champion au sein d’un quatuor de folie aux côtés de Benarbia, Wiltord et Laslandes. Un beau joueur qui poursuivra sa carrière à l’étranger, à Parme et surtout au Werder Brême, où il est encore aujourd’hui considéré comme une légende. Du plaisir avant de revenir à ses premières amours, la L1 et Bordeaux, où il termine tranquillement sa carrière en empochant une Coupe de la Ligue et en laissant de bons souvenirs au public de Lescure. Avec un regret : ne jamais avoir réussi à s’imposer sur la durée en équipe de France.

#222 - Jules Vandooren

Jules Vandooren
Olympique lillois (1927-1939), Red Star (1939-1941), Reims (1941-1943)

Son nom à consonance belge ne trahit aucun secret : Jules Vandooren vient du Nord. Et c’est donc logiquement à Lille qu’il aura réalisé ses plus grands exploits. Originaire d’Armentières, le latéral a effectivement écrit les plus belles heures de l’Olympique lillois, dans les années précédant sa fusion avec le SC Fives et la fondation du LOSC.

Débarqué au club en 1927, Vandooren participe au premier championnat de France professionnel en 1932, qu’il remporte d’ailleurs dès l’année suivante. Suffisant pour lui offrir 22 sélections en Bleu, dont deux participations en Coupe du monde (1934, sans jouer – la France n’ayant alors disputé qu’une seule rencontre face à l’Autriche – et 1938, avec un quart de finale à la clé).

De retour en club, au printemps 1939, l’arrière est également du onze finaliste de la Coupe de France face au RC Paris. Mais la guerre freine l’embellie. Les footballeurs sont en effet réintégrés au giron amateur et deviennent dès lors mobilisables. De plus, l’Olympique lillois refuse de prendre part aux championnats provisoires lancés par la Fédération française. Une situation intenable pour le Nordiste, préférant quitter cette « zone interdite » pour une « zone occupée » , celle de Paris, avec le Red Star. Jusqu’en 1941, Vandooren forme ainsi l’une des meilleures charnière de l’Hexagone, aux côtés du tout jeune Helenio Herrera, avant d’achever son parcours dans l’élite avec le Stade de Reims, aux prémices de sa grande époque.

Joueur emblématique, Jules Vandooren le sera tout autant dans le costume d’entraîneur, qui lui offrira un tour de France, de Belgique et même du Sénégal.

François Brisson

#221 - François Brisson

François Brisson PSG (1975-1979 puis 1980-1981), Laval (1979-1980 puis 1987-1989), Lens (1981-1985), Strasbourg (1985-1986), OM (1986-1988), OL (1989-1990), Lille (1990-1993)

Avec ses passages à Lens, Lille, Paris, Marseille ou encore Lyon, François Brisson n’a semble-t-il jamais eu peur de se faire qualifier de traître. Le milieu offensif était un baroudeur et malgré ses huit changements de club entre 1979 et 1990, il est toujours resté fidèle à la D1. Sa période de grâce a eu lieu à Bollaert (signant une saison à 20 réalisations dont 17 en championnat en 1983-1984), mais le champion olympique 1984 avec les Bleus a laissé une empreinte dans la plupart des clubs qu’il a connus, facturant au total plus de 500 matchs dans l’élite française, pour une centaine de réalisations. Il restera aussi comme l’un des membres de la première génération de Titis parisiens, en compagnie de Jean-Marc Pilorget, Lionel Justier, Thierry Morin (avec qui il forme les « Quatre Mousquetaires » , ayant tous débuté ensemble un 21 décembre 1975 au Parc des Princes face au Stade rennais), mais aussi Dominique Barberat. Alors que son frère jumeau Gilles, latéral droit, est également sorti du même centre de formation et a joué en D1 à Paris (1977-1978), Toulouse (1982-1986) ou encore le FC Sochaux-Montbéliard (1986-1987).

Par Quentin Ballue, Jérémie Baron, Adel Bentaha, Raphaël Brosse, Clément Gavard et Steven Oliveira, avec toute la rédaction de SF

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