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Tony Bloom, le propriétaire de Brighton accusé de diriger un réseau de paris clandestins
Le transfert de Lucas Paqueta approche.
Tout semblait bien se passer dans la galaxie Bloom : Brighton roule bien en Premier League, l’Union saint-gilloise ouvrait cette année les portes de la Ligue des champions, et Hearts s’immisce dans le duel Celtic-Rangers, mais les passions de Tony Bloom l’ont rattrapé.
Connu pour être un gambler fou, Bloom est désormais accusé d’avoir dirigé un réseau de paris clandestins, brassant 600 millions de livres, opérant dans le football. Selon le Times, une plainte aurait été déposée à la haute cour de Londres, le réseau aurait utilisé des comptes offshore pour placer ses paris.
Des collaborateurs politiques comme façade
Le milliardaire bénéficie depuis 2014 d’une dérogation spéciale de la Football Association, qui lui permet de continuer son activité via sa société de conseil en paris, Starlizard. Malgré cette latitude octroyée par les instances, il a continué de tremper dans les affaires obscures : la plainte mentionne que des anciens collaborateurs politiques, dont George Cottrell, ancien chef de cabinet de Nigel Farage et trésorier adjoint de l’UKIP, auraient servi d’intermédiaires pour que Bloom reste dans l’ombre. Le document évoque également d’autres moyens « secrets » pour miser sur des matchs de football, sans que Bloom ne se mouille directement.
Pas vu, mais pris.
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