CAN : Saadane, le mal-aimé
Les médias algériens sentent comme un retour de bâton. Très virulents envers le sélectionneur algérien Rabah Saadane, le syndrome Aimé Jacquet 1998 semble se dessiner, notamment depuis la qualification des Fennecs en quart de la CAN.
Mais Saadane n’attend pas la fin de la compétition pour balancer son amertume : « Je n’ai rien à prouver à qui que ce soit. Je me sens juste mal-aimé. Les critiques sont devenues personnelles, ce n’était pas respectueux envers moi après les sacrifices effectués pour aider l’Algérie à revenir sur le plan continental et international. On m’a attaqué lorsque j’ai choisi Toulon comme notre lieu de préparation avant de venir en Angola, on m’a attaqué après la défaite contre le Malawi. Après cette défaite, j’ai découvert qui étaient vraiment mes amis et mes ennemis » . (AFP)
Psychodrame en vue…
RB