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Montsé Tomé abasourdie par son licenciement

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Montsé Tomé n’a pas quitté la scène en silence, loin de là. Évincée du banc de la Roja féminine après la défaite en finale de l’Euro 2025, l’ancienne sélectionneuse a profité d’un passage sur El Larguero pour raconter les coulisses de son départ… et régler quelques comptes. « Personne ne m’a prévenue de mon licenciement. C’est par un message de mon agent que j’ai appris que je ne resterai pas à la tête de l’équipe nationale, » a confié la coach espagnole. Son licenciement a permis la nomination de Sandra Bermúdez à la tête de la sélection.
📲💣"Muchas jugadoras me han escrito mensajes y me han llamado. Siempre me he sentido muy respetada y muy querida. No le doy importancia a que no se hayan despedido en redes sociales" 👉 "NO ME DUELE y me siento muy QUERIDA" 🗨️‼️MONTSE TOMÉ rompe su silencio en #ElLarguero pic.twitter.com/cbv7HHSZse
— El Larguero (@ellarguero) August 12, 2025
Paroles trahies
Dans l’entretien, la technicienne de 43 ans raconte aussi que Rafael Louzán, patron de la fédé, lui avait promis de continuer en cas de bon tournoi. « Louzán m’a dit que si l’Euro se passait bien, je resterai en poste. Je suis déçue car je pense qu’il n’a pas tenu sa parole », avant de balayer l’idée que Jennifer Hermoso ait pu influencer son sort., elle qui était un des soutiens au président déchu Luis Rubiales.
« Je ne veux pas y penser, car mon esprit, ma façon de travailler, ma façon d’être ne l’envisagent pas. Je pense que cela doit être professionnel, je le considère comme tel, et que l’opinion d’une joueuse importe peu, quel que soit son nom… » Allusion à peine voilée à la polémique née de la non-sélection de l’attaquante pour l’Euro. « J’ai même dû aller au tribunal pour justifier pourquoi elle n’avait pas été convoquée. Honnêtement, j’ai trouvé ça étrange, » a-t-elle conclu.
C’est Tomé sur elle.
Une nouvelle sélectionneuse débarque à la tête de l'EspagneTA