Opposée à une bien faible équipe du Costa Rica, l’Espagne ne s’est pas posé de questions pour entamer de la meilleure des manières sa Coupe du monde par un festival offensif en première période (3-0). Hors de question de laisser place à une surprise pour les Espagnoles, supérieures dans tous les domaines. Gonzalez décroise trop sa Madjer (9e), puis Solera réalise la parade devant Ivana Andres (11e), mais les Ticas ne peuvent tenir bien longtemps. Magnifiquement servie par Bonmatí, Gonzalez voit son centre dévié dans ses propres filets par Del Campo (1-0, 21e). Les vannes sont ouvertes, et Bonmatí fait parler sa technique pour envoyer un enroulé petit filet (2-0, 23e), tandis que Gonzalez se montre opportuniste après un coup de casque d’Hermoso repoussé par la barre (3-0, 27e).
Les vagues se calment légèrement après un penalty généreux obtenu par Carmona, mais sur lequel Hermoso échoue devant Solera (34e). Après la pause, l’Espagne appuie de nouveau sur l’accélérateur. Carmona trouve le haut de la transversale (50e), et Solera multiplie les arrêts sur sa ligne, célébrant comme elle peut son anniversaire en évitant une défaite bien plus lourde aux siennes. Au point de terminer avec des crampes. Malgré 46 tentatives sur l’ensemble de la partie, l’entrée tardive de la double Ballon d’or Alexia Putellas et une dernière opportunité pour Redondo (90e+4), le score n’évolue plus.
Rendez-vous le 31 juillet pour une défaite face au Japon après un ballon resté dans l’aire de jeu au millimètre ?
Les grands récits de Society: Touche pas à son poste
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Cyril Hanouna. On ne parle que de lui. Et rarement pour en dire du bien. Adoré par ses très nombreux fans mais détesté par le milieu, le héros de Touche pas à mon poste est devenu en quelques mois le parrain du PAF. Mais combien de temps cela durera-t-il? La question se pose. Et la réponse, pour beaucoup, est évidente.