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Claudio Ranieri a refusé de reprendre la sélection italienne

Il faut bien dire stop à un moment.
Après la courte victoire de l’Italie face à la Moldavie se terminait le mandat de Luciano Spalletti à la tête de la Nazionale. L’ancien patron du Napoli a appris dimanche avoir été démis de ses fonctions, à la suite de la cuisante défaite contre la Norvège (0-3), en route pour la Coupe du monde 2026. Deux années très difficiles, qui auront vu les Azzurri faire un Euro 2024 de piètre qualité.
Beaucoup de bruit pour rien
À l’affût de son successeur, la fédération italienne de football avait jeté son dévolu sur Claudio Ranieri. Malgré ses 73 ans, Sir Claudio sort d’un baroud d’honneur formidable, redressant la Roma jusqu’à la cinquième place de Serie A. Les médias se montraient enthousiastes envers celui qui n’a jamais entraîné la sélection en 40 ans de carrière, à l’image de la Gazzetta dello Sport.
Il no di #Ranieri alla nazionale perché già impegnato con la Roma é l’ennesima figuraccia della Gazzetta, che da due giorni sbatte in prima pagina una notizia che non c’é forzando la mano a tutti. Zero attendibilità, oramai, con vendite precipitate. Chiedetevi come mai https://t.co/dwpi2Q6Rn8 pic.twitter.com/Rp7lpgjfzB
— ApocaFede (@DrApocalypse) June 10, 2025
Mais celui qui s’est trouvé un poste dans le management des Giallorossi s’est montré catégorique : « Je remercie Gabriele Gravina (président de la FIGC) pour cette opportunité, c’est un grand honneur. Mais après réflexion, j’ai décidé de rester à la disposition totale de la Roma dans mes nouvelles fonctions. » Fidèle au clan Friedkin, Ranieri a préféré rester dans la capitale italienne, dans le calme. Les pistes Roberto Mancini et Stefano Pioli, aussi évoquées depuis quelques jours, devraient devenir plus sérieuses.
Andrea Pirlo est toujours libre, au cas où.
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