Ou comment foirer ses débuts dans une phase de poules.
En déplacement en Norvège, l’Italie a complètement sombré lors de sa première rencontre de groupes comptant pour les qualifications à la Coupe du monde 2026. L’humiliation a pris forme dès le quart d’heure de jeu quand Antonio Nusa, en contre, a profité d’un ballon perdu d’Alessandro Bastoni afin de servir Alexander Sorloth pour l’ouverture du score.
🇳🇴 – 🇮🇹
Sorloth ouvre le score pour la Norvège après 14 minutes de jeu !
— la chaine L'Équipe (@lachainelequipe) June 6, 2025
Si Giacomo Raspadori ou le même Sorloth ont ensuite tenté leur chance, c’est finalement le passeur décisif qui est devenu buteur grâce à un boulet de canon. Puis, Erling Haaland a enfoncé le clou en dribblant Gianluigi Donnarumma à la suite d’un caviar signé Martin Ödegaard juste avant la pause.
Une Squadra Azzurra inoffensive
3-0 à la mi-temps en faveur des locaux, donc, qui avaient déjà remporté deux matchs au sein du groupe I avant ce vendredi soir. De quoi provoquer une réaction des visiteurs dans le second acte, le minimum étant au moins de sauver l’honneur et de paraître moins ridicules ?
🇳🇴 – 🇮🇹
But d'Erling Haaland ! Le Norvégien permet à son équipe de prendre l'air face aux Italiens qui semblent en difficulté (3-0).
— la chaine L'Équipe (@lachainelequipe) June 6, 2025
La réponse est non, la Squadra Azzurra n’étant pas parvenue à bouger son adversaire. Tristes et sans caractère, les hommes de Luciano Spalletti auraient même pu en encaisser un quatrième si le poteau ne les avait pas sauvés sur une frappe de Sander Berge.
Ça fait mal…
🇳🇴 – 🇮🇹
Passeur décisif sur le premier but, Nusa permet cette fois-ci à la Norvège de mener 2-0 face à l'Italie grâce à une frappe monumentale !
Elles étaient ensemble à La Belle Équipe, l'un des bars pris pour cible par les terroristes le 13 novembre 2015. Elles ont survécu. Sept ans plus tard, entre peur, culpabilité et solidarité, elles racontent comment elles se sont reconstruites.
