Alors l'Italie a cherché le pourquoi du comment. Et encore une fois, le sponsor Puma - équipementier de la Nazionale et de SuperMario, payeur aussi de la moitié du salaire de Conte - est dans la ligne de mire. Ce qu'Antonio Conte a balayé d'un revers de main, dans des propos rapportés par la Gazzetta dello Sport : « Mario fait partie du patrimoine du football italien, il est stupide de penser que sa convocation ait quoi que ce soit à voir avec notre sponsor. Les joueurs, je veux les évaluer en personne, il est normal de les tester. » Le sélectionneur italien rappelle même que Mario ne bénéficiera d'aucun passe-droit : « Les règles sont claires, il peut être appelé une fois et ne plus revenir. »
L'Italie s'apprête à affronter la Croatie et l'Albanie pendant cette trêve internationale. FB
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