« C'est la Roja qui paierait pour un numéro 10 comme Platini, ce qui est différent. Moi je jouais dans une sélection française, entre 1982 et 1984, qui ressemblait beaucoup à l'actuelle sélection espagnole. On était obligé de bien jouer à chaque match. »
C'est vrai qu'en Espagne, ça manque de meneur de jeu technique. La preuve, il y a Fabregas sur le banc.
LR
Vous avez relevé une coquille ou une inexactitude dans ce papier ? Proposez une correction à nos secrétaires de rédaction.