David Beckham et les miles
« La vie de David va être un enfer en Amérique, il ne sait pas ce qu’il va subir » . L’auteur de cette déclaration n’est pas un défenseur prêt à aiguiser ses crampons sur les beaux genoux de Beckham, mais bel et bien Rodney Marsh, un ancien joueur anglais désormais à la retraite.
Le Briton parle qui plus est en connaissance de cause : après avoir évolué à Manchester City, il a joué au pays de l’Oncle Sam au temps de Pelé, soit dans les seventies, sous les couleurs des Tampa Bay Rowdies (voyous en français nldr). Il en a ainsi profité pour distiller quelques conseils à la nouvelle coqueluche des LA Galaxy.
Le problème principal pourrait être le jet lag occasionné par les longs déplacements : « Chaque semaine, tu dois faire un voyage. Cela n’a rien à voir avec les 200 kilomètres sur les autoroutes d’Angleterre ou d’Espagne » .
Ces déplacements à répétitions auront sans doute des conséquences sur la santé de Beck’s : « Sur quatre jours, tu peux être amené à faire plus de 8000 kilomètres. Si tu fais ça, additionné aux changements de température, les entraînements et les interviews à répétitions, et cela devient rapidement pesant » . Alexis Lalas appréciera…
DS