Buts : Allende (16e) et Suárez (65e) pour l’Inter Miami // Paulinho (80e) et Mauricio (87e) pour Palmeiras
Seules équipes du groupe A ayant remporté un match, Miami et Palmeiras étaient en position favorable pour passer les poules au coup de sifflet final. Peut-être pour cette raison qu’Abel Ferreira, coach portugais de Palmeiras, a souhaité tenir ce cap, en restant beaucoup plus défensif dans un premier temps. Cette stratégie n’a pas porté ses fruits, puisque le Miami de Javier Mascherano s’est montré plein de réussite. D’abord par cette contre-attaque fulgurante de Tadeo Allende, initiée par un superbe contrôle de la poitrine de Luis Suárez (1-0, 16e). El Pistolero a par la suite servi un énième coup de génie, éliminant Lucas Evangelista, Gustavo Gómez et Bruno Fuchs avant de trouver la lucarne (2-0, 65e).
Mais dans les dix dernières minutes, les Floridiens brillent par leur spécialité : les failles défensives. Que ce soit pour permettre le but du 2-1 à Paulinho, ou un dégagement trop lâche récupéré par Mauricio, qui a pu casser la cage. Belle réaction du coach du club paulista, les deux buteurs étant sortis du banc à la pause. Grâce à ce match nul et celui entre Porto et Al-Ahly, les deux équipes se qualifient pour les huitièmes de finale du Mondial. On connaît ainsi les deux premières affiches : un choc brésilien entre Palmeiras et Botafogo, puis la revanche de Messi contre son ancien employeur, l’Inter Miami affrontant le Paris Saint-Germain. Un beau cadeau pour celui qui fêtera ses 38 ans cette semaine.
Porto 4-4 Al-Ahly
Buts : Rodrigo Mora (23e), William Gomes (50e), Samu (53e) et Pepê (89e) pour Porto // Abou Ali (15e, 45e+2 SP, 51e) et Ben Romdhane (64e) pour Al-Ahly.
À la fin du match du MetLife Stadium d’East Rutherford, les regrets ont dû être énormes pour les Égyptiens. Mené par les homonymes Zizo et Mohamed Ali, spécialement arrivés pour jouer ce Mondial, Al-Ahly a souvent pris les devants. Notamment grâce à un triplé de Wessam Abou Ali, devenu meilleur buteur de la compétition aux côtés de Jamal Musiala, Kenan Yildiz ou encore Ángel Di María.
Malheureusement pour eux, les Dragões ont fait preuve d’une énorme résilience. Avec des exploits individuels de Rodrigo Mora, dont la cote risque d’augmenter un peu plus, ou encore de William Gomes, Porto est revenu constamment au score. Et même lorsqu’Al-Ahly a cru faire le plus dur grâce à une superbe frappe de Ben Romdhane, Pepê aligne une magnifique frappe à 25 mètres dans les dernières minutes. Histoire de pouvoir dire que les Cairotes sont cuites.
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