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Bruno Irles défend son adjoint accusé de propos homophobes
Bad buzz sur bad buzz.
À Bordeaux, l’élimination en Coupe de France est presque passée au second plan. Après la sortie face au Puy, Bruno Irles a surtout pris le micro pour défendre son entraîneur des gardiens, Wilfrid Rastoll, suspendu neuf mois ferme (plus trois avec sursis) pour propos injurieux et homophobes lors du tour précédent. « On parle beaucoup de mon adjoint », a lancé Irles, avant de rappeler qu’il était « à côté de l’adjoint lors des faits ». Et d’insister : « J’écoute, je sais, j’ai l’honnêteté. C’est faux. »
Version contre version
Face à la décision de la commission de discipline, Irles assume le bras de fer. « Je sais ce qu’a dit mon adjoint. Je ne me permettrais pas de faire une attestation sur l’honneur avec des propos mensongers », affirme-t-il, tout en reconnaissant que « l’arbitre peut ne pas tout entendre ». Le club a donc décidé de faire appel, soutenant son staff malgré un rapport disciplinaire très lourd pour des faits survenus lors d’un simple match de Coupe de France contre une équipe de R1.
2026 sera-t-elle l’année où l’on recommencera à parler des Girondins de Bordeaux en bien ?
L’entraîneur des gardiens de Bordeaux suspendu un anMH



























