Buts : Ajorque (6e), Del Castillo (9e), Chotard (70e), Labeau-Lascary (76e) pour les Ty’Zefs // Moffi (30e) pour les Aiglons
Les Ty’Zefs à l’abordage.
Auteurs d’un début de saison délicat, les Brestois comptaient bien décrocher leur premier succès devant leur public au stade Francis-Le Blé. Une réalité 90 minutes plus tard pour les Ty’Zefs, qui ont récolté leurs trois premiers points de cette campagne 2025-2026 en s’imposant 4 à 1 face à Nice.
Magic Ludo
La connexion Ludovic Ajorque-Romain Del Castillo a de nouveau fait des merveilles ce samedi soir. Partis à l’assaut de la surface niçoise, les offensifs brestois n’ont pas tardé à faire parler leur talent. Del Castillo à la passe, Ajorque à la conclusion et déjà la prise de pouvoir des Bretons (1-0, 6e). Trois minutes plus tard, scénario inverse : passe en pivot d’Ajorque pour un dépoussiérage express de la lucarne de Yehvann Diouf par Del Castillo (2-0, 9e). Acculés par ce début de match, les Niçois ont petit à petit sorti la tête de l’eau, et Terem Moffi, choix fort de Franck Haise au moment de concocter son onze de départ, a rendu la pareille à son coach en permettant aux Aiglons de réduire le score (2-1, 31e).
Si les Niçois ont poussé pour égaliser, Ajorque ne les a pas laissés espérer plus de 30 minutes. Sur une nouvelle passe en pivot dont lui seul a le secret, après le déboulé sur son côté gauche de Bradley Locko, Ajorque a parfaitement décalé Joris Chotard qui a envoyé un missile vitesse Mach 12 dans les filets de Diouf (3-1, 70e) pour son premier but sous ses nouvelles couleurs. Il n’était pas le seul à vouloir inscrire son nom au tableau des buteurs pour la première fois à Brest, puisque Rémy Labeau-Lascary s’est également illustré après le geste signature d’Ajorque pour signer sa troisième passe décisive de la soirée : une passe de l’extérieur du pied (4-1, 76e).
Il est encore temps de modifier le top 30 du Ballon d’or.
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
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C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.