Alors que la République démocratique du Congo rêve toujours du Mondial, elle donne à sa CAN 2025 une bonne impulsion en s’imposant d’une courte tête face au Bénin. Les Léopards ont mis la main sur le match lors du premier quart d’heure, tandis que les Écureuils se sont montrés soit trop longs à la réaction, soit victimes d’une injustice.
Bongonda allume la première mèche
Dès la 16e minute, sur une longue transversale bien sentie, TheoBongonda ouvre le score devant une défense béninoise apathique. Petit pointu qui file directement dans les filets pour tromper Saturnin Allagbe, gardien béninois qui évolue actuellement gardien de National 2 au club de Chauray. La RDC impose son rythme et enchaîne les associations sur le côté droit, où le duo Wan-Bissaka/Bongonda percute et combine. À la demi-heure de jeu, Bongonda se montre encore, trouvé par Cédric Bakambu, mais Allagbe veille et repousse l’évidence. En fin de première période, le Bénin cherche des solutions mais manque d’idées : ses 68 % de possession et ses cinq tirs (surtout sur des coups de pied arrêtés et des percées isolées) ne donnent pas grand-chose.
Panne de la VAR
Dans un stade qui se remplit au compte-goutte et où l’ambiance s’éveille en deuxième mi-temps, la RDC manque de tuer le match sur une grosse occasion de Cédric Bakambu, en position idéale pour conclure un centre caviar. But jugé hors jeu par la VAR. Puis, comme un signe, retournement de situation. Alors que la deuxième mi-temps est marquée par une tournée de cartons jaunes (cinq au total pour les deux équipes), les Béninois sont victimes d’une situation litigieuse dans leur surface, demandent un penalty, qui leur est refusé, car, détail qui a son importance : la VAR ne fonctionne plus. L’assistance redonnera signe de vie seulement à un quart d’heure de la fin du temps réglementaire, trop tard pour rétablir la justice.
Le retour dans la lumière continentale n’a jamais semblé aussi proche pour les hommes de Sébastien Desabre.
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.