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John Textor de plus en plus chahuté à Botafogo

On prend le même et on recommence
John Textor pensait avoir tourné la page des critiques depuis son départ de l’OL en juin dernier. Raté. Le businessman américain reste au centre de la tempête. Partie de la région Rhône-Alpes, la grogne a traversé l’Atlantique pour venir s’installer devant le stade Nilton-Santos, à Rio. Dans la nuit de mardi à mercredi, quelques supporters de Botafogo se sont regroupés aux abords du stade olympique pour exprimer leur mécontentement envers leur président, qu’ils jugent responsable des errements sportifs et de la valse des joueurs dans l’effectif.
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« Clown et escroc »
Loin sont les belles images de novembre dernier, quand Botafogo soulevait la première Libertadores de son histoire. Ce mardi, devant le stade, pas de foule en furie, mais des fans déterminés, munis de banderoles, qui n’ont pas hésité à traiter Textor de « clown » et d’« escroc ». Un nouvel accroc dans la relation déjà fragile entre le boss américain et la torcida alvinegra.
Pendant ce temps, la direction assure que le plan pour 2026 est déjà en marche sous la houlette de Textor. Le coach Davide Ancelotti, malgré des débuts compliqués et une modeste 5e place au championnat, a été publiquement soutenu, signe que le club veut stabiliser son projet. Reste à savoir si ces promesses suffiront à calmer une fan base qui, malgré son faible nombre devant le Nilton Santos, a fait beaucoup de bruit.
Michele Kang ne pourra pas sauver tout le monde.
John Textor a « une liste de 20 erreurs » commises avec BotafogoSF