S’abonner au mag
  • International
  • Suisse

Granit Xhaka remet un de ses coéquipiers à sa place

CDB
Granit Xhaka remet un de ses coéquipiers à sa place

Le capitaine ne laisse rien passer.

Vendu à Leeds par l’AC Milan cet été, Noah Okafor démarre bien sa saison. Auteur de deux buts en cinq rencontres, l’attaquant suisse de 25 ans n’a pourtant pas été appelé par Murat Yakın pour la trêve internationale de novembre et les deux matchs cruciaux pour la qualification au Mondial 2026. Mis de côté depuis un an, le buteur suisse a révélé ne « jamais avoir parlé avec l’entraîneur » depuis, dans un entretien à The Athletic.

« Pour moi, ça n’a aucun sens, a témoigné Okafor. Ça me rend triste, car ils ne m’envoient même pas de SMS pour savoir comment je vais. Quand j’ai déménagé à Leeds par exemple, parce que je joue maintenant dans la meilleure ligue du monde. »

Okafor ferait mieux de « baisser les yeux, se taire et travailler »

Une déclaration reprise de volée par le roublard de la Nati, Granit Xhaka. Dans une interview à Blick, le capitaine de 33 ans a eu des mots durs envers son coéquipier. « J’ai eu une conversation avec lui (au sujet de la sélection). Il a eu des opportunités au championnat d’Europe et à la Coupe du monde. Pour ma part, j’évaluerais la situation de manière réaliste : pourquoi est-ce que je n’y arrive pas ? Pourquoi ne suis-je pas dans l’équipe ? »

« Noah pourrait jouer un rôle à l’avenir s’il maîtrise mieux certaines choses. Parfois, il faut baisser les yeux, se taire et travailler. C’est la performance sur le terrain qui compte », a conclu le joueur de Sunderland.

Aussi dur que le laisse supposer son prénom.

Comment la venue de Zizou à une convention en Suisse s’est transformée en fiasco

CDB

À lire aussi
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
  •  
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale

Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale

C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.

Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
Articles en tendances

Votre avis sur cet article

Les avis de nos lecteurs:

Nos partenaires

  • Vietnam: le label d'H-BURNS, Phararon de Winter, 51 Black Super, Kakkmaddafakka...
  • #Trashtalk: les vrais coulisses de la NBA.
  • Maillots, équipement, lifestyle - Degaine.
  • Magazine trimestriel de Mode, Culture et Société pour les vrais parents sur les vrais enfants.
  • La revue de presse foot des différents médias, radio et presse française/européenne, du lundi au vendredi en 3 à 4h!