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Andy Robertson dédie la qualif écossaise à Diogo Jota
Un supplément d’âme.
L’Écosse avait raté le Qatar, comme elle a raté toutes les Coupes du monde depuis 1998. Mais cette fois, la Tartan Army a trouvé la sortie de secours en doublant le Danemark. Et Andy Robertson, tiré par les blessures et le doute à Liverpool, sait très bien que le sablier est en train de se vider.
« Aujourd’hui, j’étais en morceaux. Je sais qu’à l’âge que j’ai… Ça pourrait être ma dernière chance d’aller à une Coupe du monde. » Un constat brut, qui colle parfaitement à la gueule d’un capitaine qui n’a plus le temps d’attendre son rêve.
Une qualif à deux, même si l’autre est absent
Mais dans cette nuit de fête, il manquait quelqu’un dans le cadre : Diogo Jota. « Je n’arrivais pas à sortir mon pote Diogo Jota de ma tête aujourd’hui. On a tellement parlé ensemble de la Coupe du monde. Lui a raté le Qatar à cause d’une blessure, moi je l’ai raté parce que l’Écosse n’y est pas allée. »
Les deux compères de Liverpool avaient juré que la prochaine serait la leur. « On s’est toujours demandé ce que ça ferait d’aller à cette Coupe du monde. Je sais qu’il doit être quelque part en train de sourire pour moi ce soir. Je n’ai pas réussi à le sortir de ma tête de toute la journée. » Alors oui, l’Écosse va au Mondial, le Portugal aussi.
Et Jota ? Il sera dans chaque battement du brassard du capitaine.
La Croatie se qualifie grâce à un nul contre le Portugal, la Pologne reléguée en Ligue BMH






























