Buts : Abou Ali (49e, CSC), Flaco Lopez (59e) pour les Alviverdes
Pluie, pluie va-t’en on ne veut pas de mauvais temps.
Alors que tout restait à faire dans ce groupe A après les matchs nuls obtenus par Palmeiras face à Porto (0-0) et par Al-Ahly face à l’Inter Miami (0-0), c’est finalement Palmeiras qui est parvenu à faire la bonne opération du jour en l’emportant 2 à 0 et qui s’empare ainsi de la première place. Après une première période pauvre en occasion puisqu’aucun des deux protagonistes n’est parvenu à cadrer la moindre frappe, malgré la possession de balle largement en faveur d’Al-Ahly (65%), c’est en seconde période que le scénario de la rencontre a basculé en faveur de Palmeiras.
⛔️ Palmeiras vs Al Ahly currently suspended due to weather concerns.
At the Club World Cup, officials are equipped with devices that detect thunderstorms up to 10km away.
Once a storm cloud enters that radius, FIFA protocol requires the match to be halted until conditions… pic.twitter.com/Rnoxckhl1v
Dominé durant les 45 premières minutes, Palmeiras a tenu à montrer à son adversaire du soir que son palmarès, certes moins rempli, n’était pas à prendre à la légère. Alors qu’aucune des deux équipes n’était clairement parvenue à prendre l’ascendant sur l’autre, ce sont les Alviverdes qui sont parvenus à ouvrir le score grâce à l’aide précieuse de l’avant-centre des Diables rouges Wessam Abou Ali. Sur un corner a priori anodin, l’attaquant palestinien n’est pas parvenu à ajuster correctement sa tête et a propulsé le cuir dans la lucarne droite de son gardien, permettant à Palmeiras de prendre l’avantage (1-0, 49e), malgré l’intervention de la VAR pour un potentiel hors-jeu. Dix minutes plus tard, José Manuel Lopez, plus connu sous le surnom de Flaco Lopez et entré en jeu à l’entame de cette seconde période, est venu allumer Mohamed El-Shenawy pour inscrire le but du break (2-0, 59e). Mais c’était compter sans le principal protagoniste de ce Mondial des clubs : les conditions climatiques. La rencontre a été ainsi interrompue à la 61e par l’arbitre de la rencontre, Anthony Taylor, pendant 45 minutes pour un risque d’orage… qui n’a jamais éclaté. Un fait de jeu qui n’a eu aucune incidence sur le résultat final, puisque les triples vainqueurs de la Copa Libertadores sont parvenus à conserver leur avance.
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