S’abonner au mag
  • France
  • Stade de Reims

Benjamin Stambouli : « À Reims, j’ai senti que ça ne respirait pas la sérénité absolue »

VD
Benjamin Stambouli : « À Reims, j’ai senti que ça ne respirait pas la sérénité absolue »

Nombreux sont ceux ayant déjà oublié que Benjamin Stambouli est revenu dans notre bonne vieille Ligue 1.

À 33 ans, le retour de Benjamin Stambouli dans l’Hexagone déçoit un peu. Le joueur formé au MHSC peine à s’imposer dans un collectif rémois en plein doute après le départ de Will Still. Dans un entretien à L’Équipe, le double champion de France s’est livré sur son retour compliqué en Ligue 1, ainsi que sur son avenir dans le monde du football. « Je ne suis pas arrivé au meilleur moment et j’ai senti que ça ne respirait pas la sérénité absolue. On a perdu mes deux premiers matchs, où j’étais titulaire, je suis devenu remplaçant, je me suis battu pour revenir et j’ai subi la seule blessure musculaire de ma carrière. »

Quand il aura raccroché les crampons, celui qui n’a disputé que 234 minutes cette saison en Ligue 1 se verrait bien passer de l’autre côté de la ligne de touche, comme l’ont fait avant lui son père Henri Stambouli, décédé en novembre dernier, et son grand-père Gérard Banide : « Mon grand-père est un visionnaire, un chercheur. À 87 ans, il pourrait encore entraîner ! Bien sûr, ça fait partie de moi et j’ai cette envie. Mais après, il y a les circonstances. En attendant, à bientôt 34 ans, je suis en pleine possession de mes moyens. J’éprouve toujours autant de plaisir à guider les plus jeunes. Et surtout, à vouloir gagner. »

Dans la famille des coachs Stambouli, je demande le petit-fils.

Coupe de France : Exploit d’Avranches face à Brest, Reims et Lens passent sans forcer, Angers se fait peur

VD

À lire aussi
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
  •  
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale

Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale

C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.

Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
Articles en tendances

Votre avis sur cet article

Les avis de nos lecteurs:

C'est une putain de bonne question !

Safonov doit-il devenir le gardien titulaire du PSG devant Chevalier ?

Oui
Non
Fin Dans 2j
100
69

Nos partenaires

  • Vietnam: le label d'H-BURNS, Phararon de Winter, 51 Black Super, Kakkmaddafakka...
  • #Trashtalk: les vrais coulisses de la NBA.
  • Maillots, équipement, lifestyle - Degaine.
  • Magazine trimestriel de Mode, Culture et Société pour les vrais parents sur les vrais enfants.
  • La revue de presse foot des différents médias, radio et presse française/européenne, du lundi au vendredi en 3 à 4h!