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  • Manchester City-Barcelone (3-1)

Les notes de City face au Barça

Par Kevin Charnay
3 minutes
Les notes de City face au Barça

Très dangereux en contre, les Citizens ont livré une seconde période de très grande qualité, en s'appuyant sur le gros match de De Bruyne et Agüero, et la réussite de Gündoğan.

Manchester City FC

Caballero (5) : Hormis sur le but de Messi où il ne peut strictement rien faire, il n’a pas du tout été mis à contribution. Mais lui, il ne s’amuse pas à jouer avec le feu sur toutes les relances, et ça fait du bien. Hein, Claudio ?

Zabaleta (6,5) : Sur le plan défensif, il a bien contenu Neymar, qui semblait avoir de très bonnes jambes ce soir. Offensivement, il a été d’une propreté appréciable et il n’est pas étranger au fait que le jeu des Citizens ait largement penché à droite. Un mec sur qui on est sûr de pouvoir compter. On lui confierait presque son gosse, s’il n’avait pas cette tête de tueur en série.

Otamendi (5) : Un vrai chien fou auquel les notions d’alignement défensif et de discipline sont totalement étrangères. Avec Rakitić et André Gomes dans le rôle du bâton qu’il s’empresse d’aller chercher, tant l’Argentin n’a pas hésité à sortir très loin pour aller presser les Barcelonais. Créant parfois un déséquilibre pour son équipe.

Stones (4) : Du coup, à côté d’un mec comme Otamendi, on aimerait bien voir un défenseur central calme et rassurant. Tout le contraire de Jean Cailloux, qui semblait tout proche de la bourde qui aurait pu tout gâcher.

Kolarov (5,5) : À l’époque, c’était super classe d’écouter ses chansons, tant il était au-dessus du game. Aujourd’hui, il a un peu mal vieilli, mais on ne peut s’empêcher de se laisser entraîner par ses nouvelles partitions de temps en temps. Comme ce soir. Aleksandar Kola-Rohff.

Fernandinho (6) : Comme d’habitude, il a parfaitement assumé son rôle de harceleur à la récupération au milieu de terrain. Quand son équipe était dans le dur, il était même l’un des seuls à surnager. Mais toute cette débauche d’énergie a fatigué le petit Fernand. Il a donc dû céder sa place dès l’heure de jeu à son double maléfique, Fernando. Le même en beaucoup moins bien.

Sterling (4,5) : Toujours cette fâcheuse tendance à bien commencer les actions et à faire n’importe quoi à la conclusion. Sterling, c’est le plus beau parleur de l’univers, il ramène toujours la fille chez lui, mais il finit par avoir la chiasse au moment de conclure. Une terrible malédiction. Remplacé par Navas à vingt minutes du terme, qui a poussé la balle et centré très fort devant le but. Inlassablement.

De Bruyne (7,5) : Il a passé toute la première mi-temps à agiter les bras et à crier sur son côté gauche, agacé d’être boycotté par ses coéquipiers. Et il avait bien raison, parce que quand il est repassé dans l’axe en seconde période, il a montré que c’était lui, le véritable leader de cette équipe. Non mais oh, De Bruyne compte pas pour des prunes. Remplacé par Nolito dans les derniers instants.

Gündoğan (6) : Un match très paradoxal. Dans le contenu, l’Allemand a plutôt été très, voire trop discret. Et pourtant, il termine la rencontre avec un doublé ultra-décisif. L’efficacité à l’état brut, la culture de la Gundogagne.

Silva (5,5) : Pas assez incisif en tant que meneur de jeu, il a été beaucoup plus précieux à partir du moment où il s’est mis au service de De Bruyne. Robin Silva.

Agüero (7) : Insupportable pour les défenseurs qui ont l’impression de toujours se faire prendre de vitesse par un moustique qu’il ne parvienne pas à attraper. À chaque fois, il file entre les doigts, à l’image du ballon qu’il chipe sur le but de l’égalisation, et quand il pique, il fait énormément de mal. Digne et Mascherano peuvent en témoigner. Le Chi-Kun-gunya.

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Par Kevin Charnay

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