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Ce qu’il faut retenir

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Ce qu’il faut retenir

Les conneries, c'est fini. C'était sympa les petits au pouvoir, mais il était temps de revenir aux fondamentaux. Pour cette quinzième journée de Ligue 1, Bordeaux s'est souvenu de la recette du succès, Marseille a rechuté, Grenoble est toujours maudit et Lille a scalpé Valenciennes. En cette semaine de Miss France, les prétendantes ont fait honneur.

Miss Paris (Grégory Coupet).

La vieillesse n’est pas une tare, au contraire. Grégory connaît bien le métier, ses « à côtés » , son fonctionnement et sa dure réalité. L’atout charme du Paris SG se voyait remporter le titre. C’était sans compter sur cette saloperie de 84ème minute.

Ses atouts pour gagner ? Une cheville gauche en trois morceaux et un sponsor discount (Uhlsport).

Miss Bourgogne (Saïd Ennjimi).

Il se voyait déjà avec son diadème sur la tête. Fier de sa révolution de pelouse, l’homme en noir s’est déjugé. En sifflant dans un premier temps un pénalty en faveur d’Auxerre, l’arbitre d’AJA – PSG a frappé un grand coup : finalement, sur les conseils de son assistant, il se rétracte. C’est beau, humain, sportif mais inutile. Il y avait réellement faute dans la surface.

Ses atouts pour gagner ? Une éthique au delà des clivages politiques et un entourage de bon conseil.

Miss Artois (Eduardo).

A Lens, les votes du public ont fait basculer la fin de soirée. Dans une rencontre indécise, serrée, durant laquelle Steve Mandanda prenait un malin plaisir à ne pas prendre de but, on pensait avoir recours à l’huissier pour le décompte final. C’est finalement un duel de brésiliens qui a eu raison du sort du match. A ce jeu, Eduardo a bouffé Hilton, sans connotation sexuelle.

Ses atouts pour gagner ? Un charme caché qui peut en séduire plus d’un. Des sourcils d’albanais.

Miss Aquitaine (Bordeaux).

Le titre de Miss Europe en poche, les représentants de l’Aquitaine avait à cœur de ne pas se rater dans l’Est de la France. Chahuté lors des dernières élections (4 éliminations sur les 6 dernières éditions), Bordeaux a fait honneur à son titre en violant des Nancéens inexpérimentés. Sérieux, appliqué, opportuniste, le champion de France en titre peut voir venir. Etre Miss France, c’est un métier.

Ses atouts pour gagner ? Un zeste de beauté, un poil d’expérience, une pincée de culture maison et la laideur de ses Dauphines. CQFD.

Miss Rhône-Alpes (Grenoble).

Pour le commun des mortels, c’était torché. Grenoble allait enfin récolter sa première victoire de la saison, à Lorient qui plus est, excusez du peu. Que nenni. Kevin Gameiro, l’attaquant lorientais, commet le braquage de la journée en égalisant dans les arrêts de jeu. Un but dégueulasse qui prive le GF38 d’une sensation inconnue : celle de la victoire.

Ses atouts pour gagner ? Une lose chronique qui donne un côté humain. Une habilité à se saborder qui frôle la perfection.

Miss Nord (Gervinho).

Les élections locales sont toujours plus tendues que la grande soirée Miss France. Le Nord n’échappe pas à la règle. Lillois et Valenciennois se retrouvaient pour s’assurer la suprématie régionale. Force est de constater que Gervinho porte parfaitement l’écharpe du LOSC. Technique, rapide, vif et double buteur, l’Ivoirien a grandement contribué à la gifle infligée au voisin (4-0).

Ses atouts pour gagner ? Le rythme dans la peau et une coiffure qui laisse entrevoir un front démesuré.

Miss Bretagne (Frédéric Antonetti).

Décidément la grippe A met à mal les beautés de ce monde. Après le report de Monaco-Montpellier, c’est Frédéric Antonetti, l’entraîneur rennais, qui a du rester sous sa couette dimanche soir. Pendant que son équipe ramenait un joli match nul de Lyon (1-1), le coach s’enfilait du Tamiflu. H1N1 quand tu nous tiens.

Ses atouts pour gagner ? Un franc parler, un regard malicieux et une toison apparente dans l’ouverture de la chemise.

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