Wendel, pas parti
Si Fernando Cavenaghi s’est senti un peu obligé de partir (à Majorque), en raison d’un système de jeu peu adapté à son profil, Wendel, demandeur d’une revalorisation de contrat, a été repris de volée, gentiment, par Jean-Louis Triaud.
« Wendel n’a jamais dit qu’il voulait partir, a tranché ferme le président bordelais. Il a simplement dit que la proposition que nous lui avions faite ne lui convenait pas… Pourtant, elle est du même tonneau que celles de ses partenaires, a-t-il précisé. Wendel est bien situé sur l’échelle des salaires. Et comme il lui reste deux ans de contrat, pour moi, c’est pas un souci. »
Ou l’art de montrer qui commande à Bordeaux. Par conséquent, le Napoli, la Lazio et les autres, peuvent encore attendre…
LB
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