S’abonner au mag
  • SO FOOT
  • n°120
  • En kiosque le 8 octobre

Sagnol : « Je voulais être commissaire de police »

JGB
Sagnol : «<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>Je voulais être commissaire de police<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>»

À lire : So Foot #120 avec Carlo Ancelotti, Cesc Fàbregas, Ronaldo, Alexis Sánchez, Waldemar Kita, le Mondial 2022, Dodô La Saumure et beaucoup d’autres gros noms…

Sans touillette ni langue de bois, l’actuel coach des Girondins de Bordeaux, Willy Sagnol, se confie dans le SO FOOT #120, en kiosque ce mercredi. Et il n’évite aucun sujet : de son enfance où il rêvait d’être commissaire de police à son arrivée à Bordeaux, en passant par sa carrière de joueur.

L’ami Willy n’est pas le plus flashy ni le plus connu, mais il n’hésite jamais à dire ce qu’il pense. Préférant la qualification d’électron libre à celle de poil à gratter, il remet en perspective ses déclarations chocs d’antan. « Ce n’était pas le même football, il n’y avait pas Internet, c’était le début d’AOL, avec le câble ! Je n’ai jamais eu de conseiller pour me souffler : « Il faut dire ça ou ça. » Je ne regrette pas. On ne peut pas regretter de dire ce qu’on pense. À chaque fois que j’ai parlé – de manière franche -, je n’ai jamais fait de mal ou blessé. »

Dans l’entretien, le natif de Saint-Étienne revient aussi sur les raisons qui l’ont poussé à quitter les Espoirs pour rejoindre Bordeaux. « Je suis toujours parti quand j’étais malheureux ou frustré. Je suis parti de Monaco ou du conseil de surveillance de Saint-Étienne parce que je n’étais pas heureux. Et de la fédé parce que j’étais frustré… On m’offrait la possibilité de prendre en main l’effectif professionnel des Girondins de Bordeaux, et j’ai dit oui, tout simplement. Sachant que quand j’avais dit oui, on n’avait même pas parlé de budget, ni de salaire ou de recrues. J’étais d’ailleurs en droit de ne rien demander du tout. » Et pas fâché, surtout, d’être un deuxième choix, après l’échec des négociations des Girondins avec Zinédine Zidane : « Aujourd’hui, à part Mourinho et Guardiola, Ancelotti peut-être, tous les autres, on n’est jamais des premiers choix ! Si Bordeaux avait 350 millions d’euros de budget, ben ils auraient pris Mourinho et pas Zidane ! C’est toujours pareil, hein… »

Liverpool enfonce Tottenham dans la crise

JGB

À lire aussi
Les grands récits de Society: Les mystères de Monique Olivier
  • Crime
Les grands récits de Society: Les mystères de Monique Olivier

Les grands récits de Society: Les mystères de Monique Olivier

Elle l’appelait “mon fauve”. Monique Olivier a été l’épouse et la complice de Michel Fourniret. Comment en est‑elle arrivée là?

Les grands récits de Society: Les mystères de Monique Olivier
Articles en tendances

Votre avis sur cet article

Les avis de nos lecteurs:

Nos partenaires

  • Vietnam: le label d'H-BURNS, Phararon de Winter, 51 Black Super, Kakkmaddafakka...
  • #Trashtalk: les vrais coulisses de la NBA.
  • Maillots, équipement, lifestyle - Degaine.
  • Magazine trimestriel de Mode, Culture et Société pour les vrais parents sur les vrais enfants.
  • La revue de presse foot des différents médias, radio et presse française/européenne, du lundi au vendredi en 3 à 4h!