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Planus et le turnover
Forcément, quand on procède au turnover, il y a des mécontents. Et à Bordeaux, où l’on a déjà disputé 26 matchs depuis le début de saison, on s’en accommode comme on peut.
« Il y a quatre ou cinq ans, j’aurais peut-être mal vécu cette situation, mais maintenant, à 30 ans, je relativise et je me dis que c’est peut-être un mal pour un bien, esquisse du bout des lèvres Marc Planus, taulier des Marine et Blanc. Je me suis adapté… Et comme tout le monde tourne, c’est presque dans les mœurs, ajoute-t-il. Donc, on s’habitue aux mauvaises choses ! Mais c’est cohérent, et ça permet de souffler aussi. »
Pas de chance pour les attaquants adverses, Carlos Henrique, lui, tourne très peu.
LB, à Bordeaux