- Angleterre
- Premier League
- Chelsea
Mourinho, ce coach pourri gâté
Les gens normaux doivent généralement choisir entre qualité et quantité. Mourinho n’a pas ce problème. Lui, il a la qualité en quantité.
Et comme chez tout enfant pourri gâté viennent un jour la satiété et la lassitude. Tellement de jouets offerts par Abramovitch au mercato qu’il ne sait plus avec lequel s’amuser : « Ce n’est pas facile pour moi de laisser des joueurs chez eux ou sur le banc, car tout le monde mériterait de jouer. C’est injuste pour les joueurs que je ne fais pas jouer, car ils font tout pour être titulaires. C’est difficile pour moi. Tous les joueurs sont tournés vers le collectif en ce moment. C’est ça le plus important. »
Avant d’affronter Newcastle samedi, Mourinho constate donc que les journalistes avaient raison, il y a embouteillage dans son milieu de terrain. Mais pour le moment, ça lui réussit, alors il se préoccupe surtout de prendre des points : « Ce sera l’un des matchs les plus difficiles de la saison, mais nous allons essayer de poursuivre notre série de victoires. Nous avons connu un mois d’octobre magnifique, et peu importe que nous soyons en tête ou non, cela se joue à un ou deux points en ce moment. Bien sûr qu’il vaut mieux être premier que cinquième, mais ça n’est pas important pour nous. »
Défaut avoué à moitié pardonné. L’autre moitié le sera certainement le jour du titre.
Maroc, l’élan de l’AtlasUB




























