Buts : Koundé (27e, CSC), Estevao (55e), Delap (75e) pour les Blues
Expulsion : Araújo (44e) pour le Barça
La patience, ça paye toujours.
Au terme d’un match à sens unique, Chelsea s’impose logiquement contre un FC Barcelone apathique et remonte à la quatrième place du classement.
La partie avait pourtant très mal commencé pour les Blues et en particulier pour Enzo Fernandez. Quatrième minute, l’Argentin voit son premier but refusé pour une main de Wesley Fofana, auteur d’un service finalement perdant. Vingt-deuxième minute, nouvelle douche froide. Son coup de casque fait mouche, mais doit de nouveau être annulé pour une position de hors-jeu de Trevoh Chalobah.
Deux buts refusés et un carton rouge plus tard
Et pendant ce temps-là ? Le Barça prend l’eau. Peu avant la demi-heure de jeu, Jules Koundé ouvre le score contre son camp, puis Ronald Araújo voit rouge après une faute sur Marc Cucurella. Cette fois-ci, les Blues n’ont plus d’excuse pour dérouler. Ou pas ? Au retour des vestiaires, re-rebelote : troisième but annulé, cette fois-ci pour Andrey Santos, après un hors-jeu d’Alejandro Garnacho. On croit rêver, mais c’est précisément là que le jeune Estevao vient siffler la fin de la partie. Après un véritable récital dans la surface catalane dont Pau Cubarsí se souviendra longtemps, le prodige brésilien ouvre enfin le score d’une puissante frappe sous la barre.
Et sinon Estêvão a marqué CE but face à Barcelone ce soir 🫠
18 ans, 5 matches de Ligue des champions : on assiste à la naissance d'un phénomène 😵💫#CHEBAR | #UCLpic.twitter.com/waGq2w3Xy2
À défaut de marquer des buts qui comptent, Enzo Fernandez adresse des assists valables. Comme celui pour Liam Delap qui enfonce le clou malgré un énième recours à la VAR, véritable douzième homme de ce match, mais qui n’aura pas réussi à gâcher la fête du côté de Stamford Bridge, où les Barcelonais perdent quatre places et se retrouvent en grand danger pour conserver une place de barragiste.
Elles étaient ensemble à La Belle Équipe, l'un des bars pris pour cible par les terroristes le 13 novembre 2015. Elles ont survécu. Sept ans plus tard, entre peur, culpabilité et solidarité, elles racontent comment elles se sont reconstruites.