Au lendemain d’un multiplex largement critiqué, la première journée de Ligue 2 s’est poursuivie avec un succès du Paris FC à Caen (0-2). La rencontre a été marquée par des jets de fumigènes sur la pelouse pour protester contre la nouvelle grille de programmation du championnat. Une banderole « Le foot le samedi pour des stades en vie » a également été déployée. Côté terrain, le match a vu briller les gardiens.
Obed Nkambadio a fait le show : le vice-champion olympique a mis Bilal Brahimi en échec (45e+3) et s’est opposé au tir pied gauche de Mathias Autret, qui avait bien crocheté son défenseur (58e). Le portier du PFC a remis ça dans un registre plus aérien pour enlever une nouvelle frappe d’Autret, alors que le ballon se dirigeait vers la lucarne (65e). En face, Jean-Philippe Krasso n’a jamais trouvé la solution face à Anthony Mandrea (10e, 31e, 61e). Son remplaçant Alimami Gory a en revanche trouvé la faille dix minutes après son entrée d’une frappe tendue dans la surface (0-1, 77e). Le super sub a ensuite provoqué un penalty, transformé par Ilan Kebbal (0-2, 86e). Stoppé en barrages la saison passée, le PFC se positionne d’emblée parmi les candidats à la montée. Yann M’Vila, lui, a joué une vingtaine de minutes et démarre son aventure caennaise par un revers.
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
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C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.