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Génésio : « Je ressens de la fierté »

AD, au Groupama Stadium
Génésio : «<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>Je ressens de la fierté<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>»

Qui c’est le meilleur ? Évidemment, c’est Bruno.

Malgré le fait d’avoir mené deux fois au score dans la rencontre, l’OL repart du Groupama Stadium avec le point du match nul contre Manchester City (2-2). Un goût amer pour Pep Génésio ? Pas tant que cela. « Je ressens de la fierté à voir le comportement de mon équipe ce soir, démarre le technicien français. Ensuite, il y a évidemment de la frustration. Cela s’est joué à peu de choses, que ce soit ce soir ou lors de nos deux rencontres contre Hoffenheim. Mais il faut rester positif et réaliser notre performance collective. »

Touché par la partition exceptionnelle de Maxwel Cornet, auteur d’un doublé et surprise du onze initial, Pep a félicité son petit bonhomme. « La première raison de la titularisation de Maxwel, c’est son comportement global. Je l’ai trouvé concentré et impliqué tout au long de la préparation. La deuxième, c’est sa capacité physique à répéter les efforts, que ce soit sur le plan offensif ou défensif. Bravo à lui. Cela montre que lorsque l’on garde le bon état d’esprit, on est souvent récompensé. »

Informé de la victoire au buzzer du Shakthar à Hoffenheim, Génésio est apparu lucide sur les chances de son équipe dans cette finale prévue en Ukraine, le 12 décembre prochain. « La victoire de Donetsk ne me surprend pas, car Hoffenheim encaisse beaucoup de buts, explique Pep. Décidément, les dernières minutes d’Hoffenheim nous coûtent très cher. Nous sommes toujours invaincus en Europe. Deux résultats sur trois nous qualifieront à Donetsk, c’est positif. Maintenant, il ne faut pas omettre les matchs de championnat à gagner. Nous nous préparerons en temps et en heure. »

La rigueur, toujours.

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