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Beşiktaş et Fenerbahçe endorment leur monde

AL
Beşiktaş et Fenerbahçe endorment leur monde

Beşiktaş 0-0 Fenerbahçe

Des fautes en quantité industrielle, des coups de coude dans le buffet, plus de hors-jeu que de tirs cadrés, des sifflets assourdissants. Pas de doute, c’était le derby stambouliote du dimanche soir.

Fenerbahçe tente pourtant d’allumer le feu dans ce duel entre Aigles noirs (sixièmes) et Canaris (septièmes), mais Enner Valencia – auteur déjà de 7 buts cette saison en Süper Lig – enroule de peu près du poteau gauche (8e). Le jeu est haché, Fenerbahçe collectionne les corners en vain, Weghorst est hors jeu lorsqu’il pense fêter son but en contre tel un beau diable (17e), et Jackson Muleka est systématiquement mal placé.

Hélas pour les amoureux de football turc, la partie ne s’emballe pas non plus après la pause. L’action la plus tranchante semble avoir lieu à la 70e minute, lorsque Michy Batshuayi entre en jeu pour Fenerbahçe, sur un doux air de bronca du Vodafone Park. Mais Wout Weghorst obtient deux balles de match, ou plutôt deux « têtes » de match, qu’il convertit en sortie de but (87e) et en poteau (89e).

Seulement quatre minutes de temps additionnel dans un match turc. Définitivement un jour sans.


Beşiktaş (4-2-3-1) : Destanoğlu – Rosier, Tayyip, Saïss, Masuaku (Meraş, 88e) – Uçan (G. Fernandes, 73e), Souza – Muleka (Bingöl, 73e), Alli (Ghezzal, 72e), Redmond (Tosun, 82e) – Weghorst. Entraîneur : Valérien Ismaël.

Fenerbahçe (3-4-1-2) : Bayındır – Aziz, G. Henrique, At. Szalai – Kadıoğlu (D. Rossi, 89e), M. Crespo (Yandaş, 70e), Arão, Lincoln (Alioski, 86e) – Kahveci (Osayi-Samuel, 70e) – João Pedro (Batshuayi, 70e), E. Valencia. Entraîneur : Jorge Jesus.

Fenerbahçe sauve son invincibilité à la dernière minute

AL

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