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Les Argentins connaissent même la plaque d'immatriculation de Di María

Ne surtout pas faire la blague suivante : « Quel Ange, ce Di María. » Ne surtout pas faire la blague suivante : « Quel Ange, ce Di María. »
Ángel Di María a peut être réalisé le transfert le plus romantique de l’été et il s’en est expliqué à La Nacion. Dans une interview fleuve au quotidien argentin, le nouvel attaquant de Rosario Central s’est livré sur les raisons de son retour au pays. « Retourner vivre en Argentine était la seule option ; c’était ce que mes filles et ma famille voulaient, explique le Fideo. Mais, en plus, la touche finale parfaite, c’était d’être à Central, de vivre ensemble au stade, d’aller aux matchs en bus, de voir les gens partout, de remettre le maillot et de jouer… c’était tout ce dont j’avais besoin pour finir comme je le souhaitais. » L’été dernier, des menaces proférées à Rosario avaient retardé son retour.
Bienvenido a casa, Angelito 🫶🏻🇺🇦 pic.twitter.com/f8RL920I8z
— Rosario Central (@RosarioCentral) May 29, 2025
Depuis son arrivée en Argentine, l’ancien du PSG raconte être très sollicité dès qu’il sort de chez lui : « Un jour, je suis allé chez ma sœur, qui habite près du stade Central. J’emmenais les filles parce qu’elles allaient au cinéma ensemble, et une moto est passée. Elle a fait demi-tour et est repassée, jusqu’à toucher ma vitre de voiture. Je suis sorti et j’ai dit : “Tu sais, j’ai compris que c’était toi grâce à la plaque d’immatriculation.” Ha ha, ils connaissent même ma plaque d’immatriculation ! Et on a pris une photo. Ça donne une idée de la folie, de la maladie des supporters ici. » Connaissent-ils aussi le numéro de département du Jura ?
Sa fille Mía, qui a 800 000 abonnés sur Instagram, est également sous les projecteurs argentins. « On ne gère pas ses réseaux sociaux, mais on vérifie toujours tout. Elle sait quoi regarder et quoi éviter, quoi faire et quoi éviter, et elle nous pose des questions sur tout ce qu’elle publie. On est proches. »
Il souhaite voir Messi à la coupe du monde 2026
Après sa longue carrière en Europe, l’homme de 37 ans a encore un rêve : revoir l’Argentine soulever la Coupe du monde en 2026. « Quoi qu’il arrive, Leo doit absolument participer à la Coupe du Monde. C’est lui, et il fait progresser l’équipe nationale et suscite l’enthousiasme. C’est lui. C’est comme quand Diego était là. C’est eux, et il n’y a personne d’autre. Ils viennent d’une autre planète, pas d’ici. Alors il faut continuer à en profiter, et j’espère que Leo arrivera au meilleur de sa forme. »
Nous aussi.
UL