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Sertic, le pacemaker
Grégory Sertic sait tirer les penalties. Sauf que face à Créteil, en 16e de finale de la Coupe de France, il en a foiré un à deux minutes de la fin du temps réglementaire. Soit une possibilité de donner la qualif’ aux Girondins, sans passer par la case tirs au but. Comme Bellion, face à Saint-Étienne, au tour d’avant.
Le Greg, il s’est troué. Mais si cet après-midi l’occasion se représente, il la saisira. Pourquoi ? Pour la santé de Jean-Louis Triaud.
« S’il y en a un, je tire, affirme le milieu de terrain.J’ai raté, ça arrive à tout le monde, et je m’en suis voulu, ajoute-t-il. Cela aurait été bien pour la confiance, pour la qualification, et ça aurait évité des frayeurs, surtout pour le président… Il voulait me tuer ! Il a failli faire un arrêt cardiaque encore une fois… Avec David et moi, il n’en peut plus ! »
Rassure-toi Greg, c’est avec tout l’effectif qu’il n’en peut plus, le président.
LB






























