Portugal – Tchèquie : Les Notes
PORTUGAL – TCHEQUIE : 3 – 1
PORTUGAL
Ricardo. 5: Des arrêts importants pour le Ricardo le moins doué de l’équipe.
Ferreira. 4 : S’est fait détruire la paupière pendant le match. Une aubaine que le joueur de Chelsea ne laissera pas passer pour expliquer une nouvelle fois ses difficultés sur le côté gauche.
Ricardo Carvalho. 5 : La panoplie du grand défenseur : coups de coude, accrochages de maillot, tacles bien sentis. Ce qui ne l’a pas empêché de souffrir quelques fois, notamment en première mi-temps.
Pepe. 6,5 : Monstre physique, toujours à l’affût. Un bon match dans une partie pas si simple que ça.
Bosingwa. 6 : A du mal à finir ses matchs sur le même rythme qu’il les commence. Les fans de Miguel ont pourtant de quoi se faire du mouron.
Petit. 5 : le Portugais le moins glamour porte un nom français. Simple coïncidence ? Très utile néanmoins dans l’entrejeu.
Moutinho. 5,5 : Moins en vue que lors du premier match, le futur ex-joueur du Sporting s’est contenté de s’appliquer dans la récupération. Putain de bizutage.
Deco. 7 : Indispensable quand il joue à ce niveau. Tout simplement.
Simao. 5 : S’est embrouillé avec Deco pour tirer un coup-franc qu’il a bien entendu foiré deux secondes plus tard. Les feux de la rampe, c’est décidément pas pour lui.
Cristiano Ronaldo. 7 : Moins virevoltant qu’à Manchester, Ronaldo gagne pourtant en efficacité avec la Selecçao. Faudra quand même qu’il se décide un jour à arrêter de plonger bêtement.
Nuno Gomes. 3 : Le Portugal montre encore une fois qu’il y a un grand respect pour les anciens, en alignant l’attaquant le plus nul de l’Euro.
REPUBLIQUE TCHEQUE
Petr Čech. 1995 : Comme l’année où il est resté bloqué – Il a gonflé un peu du casque.
Zdeněk Grygera. 2 : Grygera comme une âme en peine.
Tomáš Ujfaluši. 4 : Trop de Pento tue le Pento.
David Rozehnal. 3 : Encore perdu quelque part entre Paris, Newcastle et Rome, la rosette nous a régalé la chique de ses erreurs de placement et autres boulettes. A noter, son collier de barbe façon M.Pokora.
Marek Jankulovski. 4 : Un peu partout, un peu nulle part, et parfois aux deux endroits en même temps.
Jaroslav Plašil. 5 : Auteur d’un beau corner qu’il dépose sur la tête de Sionko. Mis à part ce fait de gloire, aussi inexistant que le public de Louis II.
Jan Polák. 1 : Franck Leboeuf avait prévenu : Pologne se dit Polska en polonais et Poland en allemand.
Tomáš Galásek. 8 : Meilleur qu’une tablette de Galak, mais tout aussi transparent.
Milan Baroš. 4 : Le Portos a également mauvaise haleine.
Libor Sionko : 6 – Buteur malgré lui.
Remplaçants :
Stanislav Vlček : Une petite rentrée à la 67 ème minute qui n’apporte rien, ou presque. Une certaine conception de l’orthographe.
Jan Koller : Rentré à la 73 ème, la tour de Pise a plié sans rompre pendant une vingtaine de minutes. Grande classe.
So Foot