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Nasri « n’a tué personne »
Écarté de l’équipe de France pendant un an, Samir Nasri a affirmé en conférence de presse qu’il retrouvait les Bleus « avec le sourire » , d’autant plus que le regard du groupe envers lui « n’a pas changé » . L’ancien milieu de terrain d’Arsenal est ensuite revenu sur sa mise à l’écart et a évoqué en préambule les réserves qui planent toujours sur son comportement.
« J’ai eu un problème avec un journaliste, mais ne suis pas aussi mauvais dans la vie de groupe qu’on a pu le dire. Ma prise de conscience a été par rapport à mon entourage, mes parents, mon agent. Bien sûr que je regardais les conférences de presse du sélectionneur où il disait que personne n’était à l’écart, mais qu’il fallait être performant et assumer ses erreurs. J’ai regardé tous les matchs, j’aime trop le foot. Cela faisait mal, mais j’ai regardé. »
Le Citizen, qui pourrait fouler la pelouse face à la Belgique, explique avoir une dette envers Didier Deschamps :
« Je reviens tout petit. S’il me fait jouer à gauche, à droite ou dans l’axe, c’est bien, et sur le banc, c’est bien aussi ! Je lui dois pas mal de choses sur le fait d’être revenu en équipe de France. Il faut profiter. J’ai envie de lui rendre cette confiance. Tout le monde a droit à une seconde chance. Je n’ai tué personne. En 2010, il y a eu des événements plus graves et ils ont eu droit à une seconde chance. À moi de ne pas répéter le genre d’erreurs qui m’ont mis à l’écart durant un an. »
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