Moratti reste sport
1-0, ça allait. Mais à 2-0, la tâche s’est comliquée pour l’Inter Milan qui cherche désormais une source d’espérance pour le match retour. Et la motivation pourrait venir du passé, de 1965 plus précisément.
En effet, cette année-là, en demi-finale de Coupe d’Europe, l’Inter avait chuté 3-1 à Anfield, avant de s’imposer 4-3 sur l’ensemble des deux matchs.
Une donne quasi-similaire pour les hommes de Roberto Mancini : « On devra gagner 3-0. Cet Inter a la possibilité de le faire. Parfois l’histoire se répète, qui sait » .
Le président Moratti assure par ailleurs qu’il n’a « rien à reprocher aux joueurs ni au coach » , mais peut-être « à l’arbitre » en regard aux avertissements donnés à Materazzi, qu’il juge « sévères » .
Il en profite au passage pour féliciter Steven Gerrard et « le genre de très joli but que l’on peut attendre de lui » .
Moins sympa, Zlatan, transparent hier soir, a fait du Zlatan : « Comment ça s’est passé ? Vous n’aurez qu’à demander à Materazzi » .
PM