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Luis Enrique en mode zen avant Tottenham
L’Espagnol est dans son match, celui de mercredi soir face à Tottenham. « Je félicite Achraf pour son trophée, mais je ne pense rien sur son retour aujourd’hui », lâche-t-il, comme pour refermer le chapitre d’un revers de manche. À la place, il préfère évoquer la force du collectif, celle de l’an passé et qu’il tente de maintenir à température idéale.
« J’essaie d’équilibrer ce que vous écrivez. S’il y a trop d’excitation autour de l’équipe, j’essaie d’être plus calme. » Pas de grandes envolées publiques, mais une satisfaction bien réelle : « On a marqué plus de buts que l’an dernier. On forme une vraie équipe. Beaucoup de joueurs marquent, beaucoup font marquer. Je suis très heureux. »
Luis Enrique en profite pour revaloriser le terreau local. Les jeunes du centre ont leur mot à dire, et il ne cesse de leur faire sentir que la porte n’est jamais vraiment fermée : « Ils savent qu’il y a une opportunité. Et nous aussi. »
Entre souvenirs, gestion et ambitions
Tottenham ? Un souvenir lointain, estival, d’une Supercoupe d’Europe disputée dans un contexte particulier. « Les 60 premières minutes avaient été compliquées. Mais ça s’était bien fini. » Cette fois, il veut une équipe plus « dominante » , face à un adversaire qu’il juge « très fort ».
Viennent ensuite les dossiers sensibles. Le passage raté de Randal Kolo Muani commenté tout en élégance (« Il a le niveau pour n’importe quelle équipe. ») ; la prudence autour d’Ousmane Dembélé, pas question de brusquer son retour. Et puis Marquinhos, monument, peut-être pour son 500e match en rouge et bleu : « Un vrai leader, un joueur différent. J’espère l’avoir encore plusieurs années. »
Señor Yoda.
On sait déjà qui marquera mercredi contre le PSGMH

























