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Les clubs pros français et les diffuseurs diffusent une large campagne contre le piratage

La lutte contre les boîtiers IPTV.
Ce vendredi, à l’aube des 26e et 27e journées de Ligue 1 et Ligue 2, les diffuseurs DAZN et Bein Sports, avec l’ensemble des clubs professionnels français, ont diffusé sur leurs réseaux une large campagne anti-piratage. Tout ce beau monde encourage leurs supporters respectifs à passer par la voie légale pour regarder les matchs de leur équipe, c’est-à-dire à éviter le streaming ou les IPTV au profit de la souscription aux abonnements des diffuseurs officiels.
Un « abonnement essentiel » à « l’économie des clubs »
Rémunérés majoritairement par les droits TV, les clubs professionnels évoquent pour la plupart la situation d’urgence économique qui entoure le football français. « L’abonnement aux diffuseurs officiels est essentiel pour l’économie de (insérer n’importe quel club). Alors pour faire gagner votre équipe, choisissez une offre légale ! » lit-on dans la plupart des posts, accompagnés d’une vidéo sous le même template, adaptée à chaque club par des extraits de matchs.
👊 | DAZN et la @Ligue1 s’engagent dans la lutte contre le piratage, choisir un abonnement légal c’est faire gagner son club. 📲⛔️ pic.twitter.com/vhIYEJdtxf
— DAZN France (@DAZN_FR) March 14, 2025
Certains clubs ont décidé dans leur communication d’adopter une formule un peu moins quémandante : « Ensemble, disons STOP au piratage », se contentent d’écrire des clubs comme le RC Lens, dont le président Joseph Oughourlian s’est écharpé avec Nasser al-Khelaïfi et la LFP au sujet des droits TV, le SCO d’Angers ou encore le Stade de Reims.
L’offre à dix euros pour les jeunes ne suffit toujours pas, visiblement.
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