Dans cet équivalent espagnol d’un Red Star-PSG, c’est David qui sort vainqueur de son duel avec Goliath.
Et qui prend un point en valant, dans le symbole, trois. Malmené par la bande de Vinicius d’entrée de jeu, le Rayo souffre et doit serrer les dents. Surtout avec la sortie sur blessure de Pedro Diaz peu avant la demi-heure de jeu, après un contact un peu appuyé avec Federico Valverde. Au terme d’un premier acte largement dominé par le Real, les locaux rentrent au vestiaire avec la satisfaction de ne pas avoir encaissé de but et peuvent dire merci à un solide Batalla ainsi qu’à l’attaque inefficace des Merengues.
Le favori proche de la défaite
Au retour des vestiaires, le club à l’éclair prouve qu’il a encore de la ressource quelques jours après sa victoire aux forceps contre le Lech Poznan en Conférence Ligue. Batalla continue de tenir la baraque, et Garcia passe même très près d’ouvrir le score après avoir déposé Militão : sa frappe passe malheureusement au-dessus de la cage de Courtois, comme celle d’Oscar Valentin peu avant le temps additionnel. Un manque de précision qui n’a d’égal que celui du Real, qui rentre de Vallecas avec son premier match nul de la saison. Le quatrième sur ses cinq dernières oppositions avec le Rayo, qui a une nouvelle fois fait parler la foudre face à son rival local et idéologique.
Elles étaient ensemble à La Belle Équipe, l'un des bars pris pour cible par les terroristes le 13 novembre 2015. Elles ont survécu. Sept ans plus tard, entre peur, culpabilité et solidarité, elles racontent comment elles se sont reconstruites.