Face au surprenant et flamboyant promu Monza, la Juventus a fait une nouvelle sortie de circuit à l’Allianz Stadium (0-2).
D’entrée de jeu, malgré un coup franc vicieux de Leandro Paredes, il apparaît que les Bianconeri ne sont pas dans leur assiette. Un premier pion de Gianluca Caprari, finalement annulé par la VAR pour hors-jeu, ne suffit pas à réveiller les ouailles de Max Allegri. Sur un subtil service de José Machín (oui, c’est son nom), Patrick Ciurria fusille Wojciech Szczęsny et fait exploser le parcage lombard bien garni (0-1, 18e). Monza ne lève pas le pied, et va en planter un second avant la pause : en contre, Carlos Augusto offre à Dany Mota le loisir de faire le break (0-2, 39e).
Au retour des vestiaires, Allegri change les hommes, mais les effets mettent un quart d’heure à être visibles. Le show Michele Di Gregorio peut commencer : il est impérial devant Manuel Locatelli autour de la soixantième minute, décisif devant Arkadiusz Milik cinq minutes plus tard, immense sur une frappe qui partait en lucarne signée Angel Di Maria. En fin de rencontre, c’est Andrea Petagna qui est proche du 3-0, mais qu’importe : comme à l’aller, Monza fait tomber la Juve et passe même devant son adversaire du jour au classement.
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