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Dilma Roussef défend le Mondial
À un peu plus d’une semaine du début de la Coupe du monde, il reste encore beaucoup de détails à régler au Brésil. Plusieurs stades, dont celui de São Paulo qui accueillera le match d’ouverture entre le pays organisateur et le Mexique le 12 juin prochain, ne sont pas terminés. Et c’est toute la préparation de l’événement qui est critiquée.
De fait, la présidente brésilienne Dilma Roussef a pris la parole pour défendre l’organisation de la Coupe du monde. Elle a tout d’abord désigné la FIFA comme responsable de la facture publique des stades brésiliens. L’institution avait, d’après elle, promis de financer les infrastructures. Quand le gouvernement s’est rendu compte que « pas même la moitié d’un stade ne sortait de terre » , il a donc décidé de payer ceux-ci en grande partie. « La majorité des investissements publics effectués depuis 2007 l’ont été pour le Brésil et pas pour le Mondial » , a-t-elle ajouté.
Dilma Roussef a enfin affirmé qu’elle n’assisterait qu’au match d’ouverture et à la finale, et qu’elle croisait les doigts pour la réussite du Brésil dans la compétition.
PA