Denilson of a bitch
Lors du Tournoi de France de 1997, compétition de préparation à la Coupe du Monde 1998, le Brésil avait fait forte impression.
Un joueur sortait du lot, devant le grand Ronaldo, un certain Denis de Oliveira Araujo, aussi connu sous le nom de Denilson.
Ses dribbles magiques, ses coups de rein dévastateurs, sa vitesse supersonique lui avaient ouvert les portes de l’Europe via le Betis Séville, devenant même le transfert le plus cher de l’histoire du football. Dix ans plus tard, le Brésilien est un joueur cramé, aujourd’hui sans club.
Dernièrement, il était à l’essai en Angleterre, à Bolton précisément.
Son agent : « Denilson a travaillé très dur et il a vraiment impressionné les entraineurs » , avant d’ajouter « ils m’ont assuré que suite à ce mois d’essai et à partir de maintenant, ils seront un de plus dans leur effectif » .
L’Angleterre pour se relancer, on a connu plus évident comme plan de (fin) carrière.
AG