Cris et les joies du bus
Quand la nature fait des siennes, il faut s’adapter. Les fumées du volcan islandais paralysant une bonne partie du trafic aérien mondial, nos amis footballeurs ont dû se rabattre sur le bus pour jouer les matches du week-end.
Un esprit « colonie de vacances » qui a fait ressurgir quelques vieux souvenir au défenseur lyonnais Cris : « Sept heures dans un bus ce n’est pas facile, après un match qui a été très difficile à jouer en plus… Cela rappelle les voyages au Brésil quand j’étais petit. Mais bon, on a rigolé » a-t-il déclaré, selon lequipe.fr.
Avec Sidney et ses bouteilles au dernier rang, on veut bien croire que le trajet soit passé plus vite…
AP
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