Cocu mais (presque) content
Fait cocu devant l’Italie entière par Belen Rodriguez dans L’Isola dei Famosi, Marco Borriello sort du silence dans Vanity Fair.
Sur leur incompatibilité, Marco confesse : « Trop tard. Je suis capable de jouer au foot mais les autres jeux ne sont pas faits pour moi. C’est triste mais je veux mettre un mouchoir sur ces belles années » . Las de chauffer le banc du Milan, il désire gagner sa place. Et oublier le reste.
Marco a besoin de « sérénité. D’émotions vraies. L’herbe de San Siro sous les crampons, les chants des supporters sur le terrain, le but, le maillot trempé de sueur » . Un homme simple, Marco.
« Oui, j’aime Belen. Mais j’ai compris que nous étions incompatibles. La passion qu’il y a entre nous ne suffit pas à surmonter nos différences. Je ne dois pas avoir de remords, par rapport à ce que nous avons éprouvé » .
Belen, qui s’est dit prête à lui donner un fils, n’en aura pas l’occasion : « Je suis un Napolitain attaché aux traditions, mais j’imagine une mère différente pour mes enfants » .
Faut voir le bon côté de cette rupture : fini les risques de mycoses, pour l’un comme pour l’autre.
VR