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- 25e journée
Revivez FC Séville – Atlético Madrid

Allez, c’est terminé. C’était tout nul. On file sur PSG-ASM.
J’ai beaucoup de respect pour Stéphane. Sinon, Mario Suarez a frappé sur Rico. Voilà.

Torres arrache le ballon dans le rond central à Krychowiak, file au but, s’arrête à mi-chemin, probablement cramé, remet un crochet à Krychowiak, et finit par frapper. C’est trop croisé. Quelle tristesse: le mec est pas devenu nul, il lui manque juste ce petit plus physique. C’est terrible.
Encore une fois, Bacca s’effondre dans la surface, au contact avec Moya. Evidemment, il n’y a pas pénalty.
Sinon, il serait temps de passer au diner. Quelque chose à conseiller? Pendant ce temps-là, Reyes frappe très loin du cadre.
Torres frappe sur Rico. Voilà.

Oui, on s’emmerde, on va pas se mentir.

LE RATE DE GRIEZMANN !!! Torres arrache tout sur le côté gauche, et finit par servir au point de pénalty Antoine, un poil trop avancé et qui rate sa reprise. Dommage, il était vraiment tout seul.
Encore un sauvetage in extremis de l’Atlético. On est à deux doigts de 30 millions d’amis.

Ah, une action. Une tête d’Iborra, arrêtée sur la ligne par Moya. Voilà, voilà.
Allez, tous ensemble: « Je voudrais un petit Ricard dans un verre à ballon ».
Je vous ai vu venir, les défenseurs des droits asiatiques. #TeamPastis.
C’est reparti, et ca va un peu mieux au niveau de l’intensité. Donnez nous des buts enfin.
Bon, c’est la mi-temps. Il ne s’est strictement rien passé. Séville domine, l’Atlético tient le choc et prend des jaunes. Bof.
Comme ca, vous n’avez pas envie de me voir? C’est quoi cette histoire?
En fait, le plan de l’Atlético, c’est que Griezmann gratte un ballon, récupère un coup franc ou un corner, et de marquer là-dessus. Ca a le mérite d’exister comme plan.
Il est rigolo Bacca. Dès qu’il a le ballon, il tire. En plus, son nom rappelle Ibaka, qui prend quand même plus de rebonds que de shoots.
Vitolo, Rico, c’est une équipe de purée de patates Séville en fait.

Le poteau pour Séville !!! Vicente Iborra est trouvé sur un centre lointain, et prend le dessus sur la défense pour claquer une reprise au point de pénalty, mais il ne trouve que le montant.
Qu’est-ce que ca plonge, des deux côtés d’ailleurs. On dirait Splash.
Je viens d’apprendre que Fernando Navarro est un homme clef dans le dispositif d’Unai Emery. Un latéral gauche. Comment un latéral peut-il être un « homme clef »?
Antoine se charge du coup franc, mais c’est bien au-dessus.
Contrôle-frappe de Bacca, toujours Moya. Voilà voilà.

Vidal s’infiltre sur le côté droit, mettant un petit pont au passage à Godin. Derrière, le ballon se ballade un peu dans la surface, Tiago est pas loin du CSC, et Moya doit s’employer pour la repousser.

La première occasion du match, est, vous l’avez deviné, pour Carlos Bacca. L’attaquant envoie une frappe sèche lointaine, que Moya capte difficilement.
Encore un accrochage entre les deux. Décidément, ce Colombien aime la pelouse.

Miranda se paye Bacca juste à l’entrée de la surface, sur la gauche. Le coup franc à suivre ne donne pas grand-chose.
Bon, c’est quand même tout doux comme début de match. AG essaye bien de se dépatouiller de la défense sévillane, mais c’est pour l’instant trop isolé et donc sans succès.
Cette fois, c’est Tiago qui récupère le ballon au pressing, mais l’arbitre siffle faute. En fait, l’Atlético, c’est une équipe de Premier League, il leur manque que les arbitres.
Si Koke est lui aussi remplaçant, Coke est lui bien présent. Sinon, Raul Garcia se met tout de suite en évidence avec une faute.
Salut les loulous, on se retrouve pour cette belle affiche de Liga, entre le FC Séville et l’Atlético Madrid. L’occasion de voir Griezmann, titulaire en pointe, de se mesurer à Kolodziejczak, bien présent dans la défense de Séville. En revanche, Trémoulinas et Gameiro sont sur le banc, tout comme M’Bia.
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