- Ligue 1
- J30
- PSG-Lyon (2-1)
Les notes du PSG face à l’OL

Le PSG s'est imposé avec un Pastore des grands soirs et malgré une défense très moyenne.
Paris Saint-Germain
Trapp (5) : Deux corners, deux passages à vide. Des prises de balle aussi rares qu’une soirée originale pour la Saint-Patrick. Et sinon, il devient quoi, Alphonse Areola ?
Thiago Silva (5,5) : Agressif au marquage dans sa propre surface de réparation. Attention, un jour, ça pourrait valoir cher. Mario Yepes en sait quelque chose. Le reste ? Un brassard fluo, pour bien qu’on le voie. Mais c’est tout.
Marquinhos (5,5) : Se faire manger de la sorte sur un corner par Rafael, même si c’est un acte patriotique, ça devrait être passible de la peine maximale. Si pour madame la Marquise tout va très bien, monsieur le Marquis était dans le dur.
Aurier (6) : Certes, son sang-froid est à peaufiner et son jeu reste assez robotique. Mais quand on possède de si gros cuisseaux pour déborder, ça fait la différence à chaque fois. Du moins en Ligue 1.
Maxwell (7) : Avec sa coupe de cheveux de mannequin et son style indémodable, l’homme mûr du PSG s’est une nouvelle fois montré à son avantage. Un sauvetage sur la ligne et une ligne impeccable. Claudia Scherrer.
Verratti (7,5) : Même si son équipe souffre, le père de famille est là pour raconter des histoires aux arbitres. Quitte à inventer un monde merveilleux où la guerre du terrain serait un jeu où il faut collectionner les bons points et jouer à cache-cache. Chez Marco, la vie est belle. Remplacé par Thiago Motta (88e), casseur de rythme professionnel.
Rabiot (6,5) : Son jaune était à première vue beaucoup trop anisé et pas assez dilué. Averti par la patrouille nocturne, Adri a laissé la voiture sur le côté et s’est mis à courir pour éviter la gueule de bois. Bon réflexe.
Di María (8) : Son pied gauche ferait passer des soirées enflammées dignes d’une invitation de Quentin Tarantino au Titty Twister. La chaleur du Mexique à chaque frappe de balle, et pour les vampires, il est déjà l’acteur principal.
Draxler (7) : Pour maîtriser le cuir et manipuler la boîte séquentielle, la berline allemande possède encore de beaux jours devant elle. Remplacé par Matuidi (54e), dans sa prépa pour le marathon de Paris.
Cavani (6) : Le mauvais Matador. Celui qui peste contre l’arbitre et qui prend des cartons bêtes. Pas dans son assiette, c’était oui, puis non, puis oui, puis non. La fusion Stade Français/Racing 92.
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