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Foot et mafia : les histoires les plus folles sont dans le nouveau SO FOOT

SF/ Illustration couverture : Dani Blazquez
Foot et mafia : les histoires les plus folles sont dans le nouveau SO FOOT

Découvrez le sommaire du numéro de décembre.

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+ Avant-match

Rapido. Koffi Kouao a perdu 15 minutes de sa vie à cause de nous. Sorry.

Clasico. D’après une étude très sérieuse, 100 % des footeux seraient fans de Gladiator.

Chelsea Boys. Chouette, des nouvelles de Raheem Sterling!

Copains d’avant. Avant d’être cornaqué par les Mbappé, le Stade Malherbe Caen a connu des jours heureux. La preuve en 1992.

Jour après jour. Un mois de Shinzu 2000, d’ego et de vaudou.

Maxime Lopez. Le minot du Paris FC avait quelques messages à faire passer: oui, il est injouable à Call of Duty; oui, c’est un fanzouze de Messi ; et oui, il se verrait bien au mondial avec l’Algérie.

+ Road to WC 2026

Lise Klaveness. Frisson de l’année, la Norvège se rendra en Amérique du Nord l’été prochain avec à sa tête une présidente de fédé pas comme les autres. Rencontre à Oslo avec la hantise de Donald Trump.

+ Couverture – Foot et mafia

Assez Milan. Assassinats, drogue, extorsions: en ouvrant leurs portes à la mafia calabraise, les ultras de l’Inter et de l’AC Milan ont fait basculer San Siro dans tout ce qui gangrène historiquement l’Italie. Récit d’une enquête judiciaire tentaculaire.

Le roi de la relégation. À 35 ans, l’agent de joueurs brésilien William Rogatto se vante d’avoir fait descendre 42 équipes en pariant sur leurs défaites. De quoi amasser 50 millions d’euros, et croiser la route de John Textor. Et attendre son procès à Brasilia.

Sito Miñanco. Considéré comme le Pablo Escobar espagnol, le narcotrafiquant Sito Miñanco a un temps présidé le petit club de son village, le Juventud Cambados. Retour sur une époque pleine de démesure où les joueurs étaient payés avec des sacs-poubelle remplis d’argent sale.

Les Internationaux. Depuis plus de 50 ans, Los Internacionales, la bande de voleurs la plus célèbre de Bogota, pillent à l’étranger pour subvenir aux besoins de leurs quartiers et financer le foot du dimanche.

Pseudos narcos. Tout narco qui se respecte possède un surnom. Et souvent, c’est celui d’un footballeur. Voici les histoires du Diego Costa marseillais, du Fenomeno de Montfermeil et du Messi du haschich.

+ Portfolio

Hoolicards. Dans les années 80, les hools empruntent un code de la mafia: laisser leur carte de visite dans les poches des victimes de leurs coups de poing. Retour en image sur une drôle de manie.

+ Entretien

Giovani Lo Celso. Parmi les milliers de joueurs que produit Rosario en Argentine, il y a lui. De retour en forme au Betis, l’ancien pari du PSG postule à une place dans le onze de Scaloni. Celle qu’il occupait jusqu’à cette foutue blessure à quelques semaines du mondial 2022…

+ À la culotte

Ludovic Ajorque. Ce n’est pas le plus beau, pas le plus rapide, et surtout pas le plus médiatique des numéros 9 français. Mais à 31 ans, le Réunionnais fait bel et bien partie des attaquants les plus redoutés des défenses d’une ligue 1 qu’il incarne à merveille.

+ Légende

Edwin van der Sar. Victime à l’été 2023 d’une hémorragie cérébrale, la légende des Pays-Bas a retrouvé la forme et coule de beaux jours dans sa banlieue d’Amsterdam. L’occasion de rembobiner ses 21 ans de carrière dans les bois, et sa fructueuse expérience de CEO à l’Ajax.

+ Culture foot

Noir Mondial 78. Pour sa première BD, le docteur en civilisation latino-américaine Camille Pouzol propose un récit à mi-chemin entre l’histoire et le reportage sur la coupe du monde 78 en Argentine. Et c’est plutôt passionnant.

+ Supplément offert : THE RED BULLETIN

Daniel Riolo : « Je n’ai pas demandé à Nasser d’être directeur sportif du PSG »

SF/ Illustration couverture : Dani Blazquez

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Cyril Hanouna. On ne parle que de lui. Et rarement pour en dire du bien. Adoré par ses très nombreux fans mais détesté par le milieu, le héros de Touche pas à mon poste est devenu en quelques mois le parrain du PAF. Mais combien de temps cela durera-t-il? La question se pose. Et la réponse, pour beaucoup, est évidente.

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